1. L'éveil d'Aurore


    Datte: 20/08/2018, Catégories: fh, ff, fhh, extracon, cocus, inconnu, nympho, bain, Oral double, merveilleu, sorcelleri, contes, couple, extraconj, Auteur: Bicocu, Source: Revebebe

    ... entre ses cuisses. Il en huma l’odeur et darda sa langue entre les lèvres de son con, le nez dans sa douce toison dorée. La belle émit un gémissement de contentement et poursuivit sa fellation sur le capitaine qui lui maintenait maintenant la tête pour mieux la pénétrer. Aurore se dégagea pour respirer avant de replonger le monstre de chair dans sa gorge profonde et de l’avaler jusqu’aux couilles. Puis, au bout d’un moment, la reine se retourna pour rendre au beau secrétaire les plaisirs qu’il lui procurait. Dans cette position, elle offrait au capitaine sa croupe généreuse. Il attrapa ses fesses, les écarta et pointa sa bite entre les plis humides de la royale chatte. Le secrétaire continuait à lécher le clitoris de la belle. Il était aux premières loges et admirait la pénétration de la verge noueuse dans les chairs tendres d’Aurore.
    
    — Aaaah ! Enfin, capitaine ! Aaaaaah, ooh oui, Allez-y, aaaaa !
    — Ooh ! Ma reine ! Que vous êtes accueillante, aaah !
    — Oh oui, cochon ! Foutez-moi, bon Dieu ! Foutez-moi ! Aaaah !
    — Ooooh ! Aaah ! Oooh, quel délice ! Aaaah !
    — Oooh mon Dieu, baisée et léchée en même temps, aaaaaah ! Allez-y, Messieurs, aaaah !
    — Oooh, le cochon ! Il nous lèche tous les deux ! Aaaah, je sens sa langue sur mes couilles, oooh !
    — Allez-y, capitaine ! Bourrez-moi, aaaaah ! Je n’en peux plus, aaaah ! N’arrêtez pas ! Foutez-moi comme une « Marie-couche-toi-là », aaaaaaaaaaaaaah ! Je jouis aaaaaaaah ! Je jouiiiiiiiiiiiiiis ! Aaaaaah, encooore ! Continuez, ...
    ... aaaah ! Déchargez, capitaine ! Déchargez ! Aaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
    — Oh oui, ma reine, ça vient ! Aaaaaaaaaaaaah, je jouis, je jouiiiis ! Aaaaaaaaaaaaaaaah !
    
    La reine sentait en elle la verge du capitaine se raidir et gonfler. Enfoncée au fond de sa matrice, elle était animée de secousses violentes et répandait sa semence au plus profond d’Aurore. Le capitaine se dégagea et le secrétaire, au comble de l’excitation, retourna la reine. Il prit position dans la place encore chaude et pilonna sa souveraine avec toute la fougue de sa jeunesse.
    
    — Oh oui, mon doux Louis ! Aaaah ! Ooh !
    — Oooh ! Ma reine, je n’en puis plus, il faut que je vous foute !
    — Aaaaah ! Mon Dieu, aaaaah ! Je suis une ribaude ! Aaaaaaaaah !
    — Oh, ma reine ! Oh, ma reine ! Aaaaaaaaah ! Si vous saviez… Aaaah !
    — Vas-y, mon Louis, aaah ! Jouis, jouiiiiiis ! Aaaaaaaaaaaaaaaaah ! Encore ! Aaaaaaaaaaaaaaah !
    — Oh, gourgandine, aaaaaaaaaah ! Je vais te remplir le con !
    — Oh oui, oh oui, oh ouiii ! Décharge ! Déchaaarge, aaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
    — Ooooooooooooooh ! Gourgandine ! Je… Je… Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
    
    La bite du secrétaire, comme celle du capitaine avant, se planta au fond de ses entrailles et elle sentit le flot de semence qui s’en échappait par saccades successives, deux, trois, quatre, cinq… Le secrétaire se vidait les couilles comme un pourceau dans l’accueillante chatte d’Aurore. C’était pourtant bien peu, mais elle venait de connaître, en un après-midi, plus ...
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