Mémoires d'une jeune suceuse (5)
Datte: 04/07/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: JeuneSuceuse, Source: Xstory
... sortant de là.
Oh ! Non pas pour le traitement que tu viens de m’infliger : Si les mecs me regardent tous comme ça et te font un clin d’œil, ce n’est pas seulement parce que tu te lèves une salope dont l’apparence leur fait douter de la légalité de cette relation, tandis que je suis pourtant majeure et vaccinée... Non, pas seulement : C’est doublement, qu’ils pensent : "Bâtard", dans leur tête.
Parce que la petite salope en question, elle te dévore du regard ; elle est complètement amoureuse de toi... Et le fait d’être trimbalée partout me plaît, non pas parce que tu me promènes comme ta meuf, mais parce que dans le regard de tes collègues, il n’y a aucun doute : c’est ta suceuse, cette petite bombe qui arpente le magasin auprès de toi, comme un accessoire à ton quotidien.
Alors, j’ai la mine défaite, oui, parce que cette fois, l’inconnu que je viens de regarder dans les yeux en avalant ton foutre, toi tu le connais, et j’ai honte de me dire que j’ai un instant espéré que tu lui soutires un euro - prix que tu aurais exigé de lui sur le coup - pour qu’à son tour, il me fasse m’agenouiller devant lui... Alors oui, j’ai honte... Et ça se voit sur ma bouille...
Tu scrutes mon regard, et tu le comprends.
Aussi, lorsqu’on passe devant le rayon cuisine, tu me dis à l’oreille que tu n’es pas sûr que j’aie le droit de penser à ce thème-la, que ma pensée vient d’être bien vilaine, et que je ne mérite pas la "nourriture" qui se trouve encore où je sais sur ton ...
... corps...
En poursuivant, le rayon plomberie te fait me dire que si j’ai encore une seule pensée comme celle-là sans ton consentement, tu loueras mon cul au premier venu, pour qu’il me démonte le conduit anal sans aucune préparation, et que j’ai donc plutôt intérêt présentement à mieux me conduire envers toi, et à être plus docile.
Tu me pousses dans le dos vers le rayon bricolage, en me disant "Tu sais ce qu’il te reste à faire, petite putain..."
Bien sûr que je le sais : je dois choisir moi-même ma punition... C’est tout ce que je mérite. Et c’est une corde, que je saisis sur le rayonnage, et que je te tends...
— Porte-la toi-même, tu es une vilaine fille : personne ne doit l’ignorer, je m’en tape de ta honte.
Puis, au rayon jardin, plus besoin de me pousser : Je sais très bien ce que tu attends de moi, et les serflex me sautent quasiment tout seuls dans l’autre main...
Le rideau passé, je ferme les yeux, pour éviter le regard de C. et la pensée qui va avec... Mais tu me rappelles de suite à l’ordre :
— Ouvre les yeux, salope. Et regarde-le pour ce que tu vas lui demander...
— Pouvez-vous m’ouvrir le bureau dont mon Maître m’a parlé, je vous prie ?
— Et je peux savoir pourquoi, Mam’selle ? demande-t-il.
— Ben... C’est-à-dire que...
— Dis-lui, Azilis, dis-tu.
— Ben... C’est que j’ai été une vilaine fille, et j’ai besoin d’être punie par mon Maître.
— Elle est sérieuse là, ta meuf ? demande-t-il
— Oui, je suis très sérieuse, Monsieur... Je ne ...