1. Serveur d'un soir (3)


    Datte: 02/07/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Maximalia, Source: Xstory

    ... pouce mouillé à la bouche qu’il lécha avidement. Ça ne faisait même pas l’ombre d’un demi-doute : Max ne rêvait que d’une chose, libérer la bête, mordre l’extase à corps perdu.
    
    — Assez joué ma grande, me disais-je intérieurement. Je quittais ainsi son pied gauche abondamment recouvert de ma mouille et redéposait son autre pied plein de ma salive. J’en profitais pour les lécher une dernière fois et remonter comme une féline épousant le sol en caressant tout ce qui se trouvait à ma portée. Sauf que le sol ici était son corps. Et à ma portée, il y avait ses jambes, ses cuisses sculpturales que je cajolais avec avidité. Ma bouche s’arrêtait à hauteur de bosse. J’eus la dextérité suffisante pour déboutonner d’un coup de dents sec, la fermeture du Graal d’un soir, mon nez et mes yeux au niveau de son gland tendu et gonflé comme jamais. C’était beau, vivant. Je vis son arsenal se frayer un chemin entre ses premiers abdos. Il arrivait au-dessus de son mignon nombril. Je pouvais sentir l’odeur du mâle se libérer. Elle était douce et âcre en même temps. L’odeur de l’amour. J’en profitais pour me relever et me placer sur son sexe enfin libéré. Droite comme un "i", je reprenais ma position dominante et ma danse lancinante. Je frottais mon sexe contre son sexe éclos. Un beau morceau de viande nervuré, tendu, massif. Mon vagin entourait la largeur imposante du chibre de Max et remontait puis redescendait sur toute la longueur. Ma mouille facilitait le va-et-vient de plus en plus ...
    ... rapide et orgasmique. Je me sentais tellement ouverte et désireuse qu’un simple coup de reins de sa part au moment où j’arrivais au bout de sa tige, que son gland puis son sexe seraient entrés d’une traite dans mon antre - quelque fut la taille impressionnante du sexe de Max.
    
    Habitée par un désir infini, mais pas encore par Max, je tentais, en référence à l’illustration bestiale figurant sur le t-shirt qu’il m’avait prêté :
    
    — Je vais être ta tigresse pour la nuit entière !
    
    Je ne sais pas ce que cette réplique déclencha en lui, mais il allia soudain le geste à la parole dans une vivacité qui me rappelait 30 minutes plus tôt, lorsqu’il nous avait fait basculer comme par magie sur la banquette de sa voiture. Il rugit :
    
    — Tant mieux, je suis un véritable lion, pour ma part !
    
    A peine avait-il commencé à prononcer ces mots qu’il avait fait voler mon t-shirt et que je me tenais à califourchon sur ses hanches, lui debout sur le matelas, le jean sur les chevilles. Je m’agrippais à lui comme à un tronc d’arbre, mes mains tenant son cou. Il avança d’un pas, ce qu’il lui permit de se libérer de son jean, définitivement. Il marchait sur les oreillers, en équilibre, avec force et agilité. Je pouvais sentir la fraîcheur du mur derrière moi, à quelques 20 centimètres de la chute de mes reins. Nous étions enfin totalement nus. Je le voyais dans le reflet du miroir de sa chambre nous porter avec la grâce d’un félin, les jambes légèrement arquées, ses testicules lourds et ronds tout ...
«12...456...»