1. Serveur d'un soir (3)


    Datte: 02/07/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Maximalia, Source: Xstory

    La pénombre revint après quelques minutes. J’étais encore éprise des sensations pénétrantes de mon orgasme d’il y a un instant. Je recouvrai péniblement mes esprits, mais quoi de plus délicieux que de savourer ce moment encore et encore, le serveur le plus sexy du monde, toujours nu au-dessus de moi. Dire qu’il n’avait même pas eu à me pénétrer... Mon désir était encore là. J’avais l’impression que jamais je ne pourrais me lasser de lui. Qu’il me fasse l’amour éternellement, c’était mon seul souhait.
    
    Il me regarda droit dans les yeux toujours couché à 10 centimètres de moi, en extension sur ses bras puissants, m’effleurant par endroit de sa peau légèrement brunie et douce.
    
    Il me dit simplement :
    
    — Rentrons chez moi !
    
    Je n’esquissai qu’un geste d’approbation de la tête. Sa main droite vint caresser avec une tendresse extrême ma joue gauche et après un regard pénétrant et doux, il m’embrassa avec une attention délicieuse.
    
    S’en suivit un nouveau moment incroyable. Je n’aurais pas été éveillée, je me serais crue de nouveau dans un rêve ou dans un film. De ces scènes que l’on fantasme, mais que l’on sait impossibles à vivre. Là, c’était pourtant bien réel. Faites que ma chance continue toute la nuit...
    
    Max passa simplement son jean qui le moulait à la perfection sur ses jambes et son sexe nu qui avait désenflé, mais restait magnifique et d’une taille impressionnante. Il rabattit aussi son t-shirt sur son buste saillant et me demanda d’enfiler son manteau chaud ...
    ... sur les épaules. J’étais nue dessous, mais sa doublure en fourrure était un régal. J’apercevais nos dessous perdus sous le siège conducteur. Je pouvais imaginer ma petite culotte encore mouillée d’émotion.
    
    Max ouvrit la porte gauche arrière. La loupiote de la voiture s’alluma faiblement. Elle caressait les formes magnifiques de Max, éclairait ses cheveux noirs en bataille. Il ne m’en fallait pas plus pour sentir les lèvres de mon vagin s’entrouvrir. J’étais toute dilatée. Je vais dévorer ce mâle parfait. Il poussa la porte de son pied nu et sortit. Il se pencha pour me tirer à lui. Quelle puissance ! Il glissa un bras sous mes genoux, l’autre dans mon dos et m’attira contre son buste. Nous étions dehors, une fine neige avait repris. J’étais bien. Max referma la portière d’un coup de talon et commença à se diriger vers le petit portail de sa maison familiale qui marquait le début d’une petite allée quasiment invisible par la neige. Il marchait d’une foulée puissante, mais lente. Chacun de ses pas s’enfonçant dans 20 centimètres de neige. J’imaginais ses pieds rougir à cause du froid, ils devaient être glacés. Pourtant, Max ne sourcillait pas.
    
    Son visage paré d’un masque de force et de gentillesse. J’étais lové dans ses bras. Un bras autour de lui, ma main libre caressant doucement et machinalement son cou, son épaule, son torse. Quelques flocons parsemant sa mèche balayant son front. J’avais l’image de nous dans cette situation unique et d’un romantisme dingue. L’homme ...
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