Le projet artistique (28)
Datte: 30/06/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... mettre un doigt dans une chatte ou faire une branlette à une bite. On ne pouvait qu’effleurer, que caresser. Ça allait être une torture pour tout le monde. Nous terminâmes le petit-déjeuner ainsi, mais en limitant les caresses au sein du couple. Quand Marie nous rappela que nous avions un peu de rangement et de nettoyage à faire, elle fut un peu huée. Mais elle nous dit aussi que si nous travaillions vite ce matin, nous pourrions reprofiter de la piscine en début d’après-midi. C’était une bonne motivation, nous nous répartîmes alors les tâches. Nous nous levâmes de table, j’avais la queue qui commençait à gonfler un peu après les quelques caresses de ma chérie. Je vis que les autres mecs avaient aussi un début de gaule. Pour les nanas, c’était difficile à voir au niveau de l’entrejambes mais il me sembla que les tétons dardaient légèrement.
Je vis Sylvie hésiter un instant devant le cul de Paul qui passait par là, elle regarda Esteban qui lui fit un petit signe de tête. Quand Paul repassa dans l’autre sens elle n’hésita pas et lui caressa le cul rapidement. Paul se retrouva un peu surpris pour voir qui avait fait ça. Il vit que c’était Sylvie, il lui mit une main aux fesses en retour. Pour ne pas être en reste Elisa effleura d’une main délicate le sexe du chéri de Sylvie qui lui-même soupesa un sein de la prof. Les "hostilités" étaient donc déclenchées mais ce ne fut pas la ruée non plus. On ne cherchait pas en permanence à toucher quelqu’un. Les mecs allèrent dans les ...
... chambres pour enlever les draps et en remettre d’autres tandis que les filles allaient débarrasser la table, faire la vaisselle. Chaque mec était seul à sa tâche tandis que les filles travaillaient ensemble.
Les draps furent changés assez rapidement même si nous n’avions pas l’habitude de le faire. En descendant les draps sales, nous vîmes Olivier qui était débout au bout du petit couloir menant de l’escalier au séjour. Il se tenait là, les bras chargés des draps venant du convertible du bureau. Qu’est ce qui l’avait arrêté comme ça ? Je passai la tête par-dessus son épaule et je compris pourquoi. Ces petites cochonnes travaillaient mais se caressaient, les seins, le cul voire aussi la chatte en même temps ! Olivier et moi laissâmes la place aux autres pour qu’ils constatent d’eux-mêmes.
Nous entrâmes tous les six d’un coup dans le séjour, Paul les interpella :
"Dites mesdames, on n’avait pas dit que les caresses pouvaient être faites entre femmes."
Elles sursautèrent en l’entendant et en nous voyant tous.
"Mais on n’avait pas dit qu’on pouvait pas, lui rétorqua malicieusement sa femme."
Elle n’avait pas tort. Et puis après tout, moi je m’en fichais un peu qu’elles fassent ça entre elles. Et même c’était plaisant à regarder. Je ne devais pas être le seul à trouver ça bien car les autres recommençaient à bander légèrement.
"Et puis, vous pouvez toujours faire la même chose entre vous, rétorqua Amandine."
Devant nos mines déconfites elles rigolèrent bien. ...