1. COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Saison III (8/9)


    Datte: 25/06/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... cambriolage, nous allons faire venir les services spécialisés, avez-vous des soupçons.
    
    • Avant de partir à l’hôpital, j’ai demandé les livres de comptes à Lala la barmaid qui aidait ma grand-mère dans ses déclarations pour...
    
    • Nous savons tout, parler sans pudeur, votre grand-mère tenait un bar à filles, nous venons de voir les chambres où elles officient.
    
    • C’est illégal ?
    
    • Non, sinon nous l’aurions fermé depuis longtemps.
    
    À chaque contrôle tout étaient normales.
    
    Son bar est assez retiré et aucune plainte de voisinage qui aurait pu nous conduire à le frapper d’interdiction.
    
    Avez-vous des suspicions sur qui aurait fait cela ?
    
    • J’ai des doutes sur le comptable et la barmaid de ma grand-mère, je me suis arrêté à l’aller, il avait l’air soucieux que je demande à voir la comptabilité.
    
    Au retour j’ai vu que sa voiture était partie et un mot était scotché sur la porte disant qu’il s’était absenté.
    
    • Serge, le comptable dans la rue principale ?
    
    • Oui.
    
    • Sergent foncé avec le bleu au commissariat déclencher un avis de recherche et d’interception d’une voiture de type Audi grise métallisée avec deux personnes à son bord dont une femme de couleur.
    
    • Vous le connaissez !
    
    • Oui, et Lala aussi, j’habite la maison voisine et même s’ils étaient discrets, ils sont amants.
    
    Ils partent nous laissant seule.
    
    Elle appelle les spécialistes qui vont arriver de Bruxelles.
    
    • Tu es française du sud !
    
    • Ça se reconnaît à mon accent !
    
    • Oui, ...
    ... je vais en vacances au cap d’Agde !
    
    • Es-tu naturiste ?
    
    Nous nous sommes mis à nous tutoyer naturellement, la jeune femme m’accroche malgré son uniforme et son gros pétard à la ceinture.
    
    • Oui, et lesbienne, c’est là-bas que j’assouvis mes besoins pendant mes vacances, car ici impossibles de faire voir à mes collèges ce que je suis.
    
    Dans mon boulot nous sommes tous des mâles très virils.
    
    Il faut que l’on en impose, que j’en impose devant mes hommes.
    
    • Pourquoi me fais-tu cette confidence ?
    
    Elle se rapproche de moi.
    
    Me caresse la joue.
    
    • Je sens que je peux te faire confiance, j’ai un instinct pour ça.
    
    Je suis troublée de faire de l’effet à cette femme qui semble toute seule dans ce monde brutal.
    
    Nos bouches se joignent.
    
    • On a presque deux heures devant nous, ta chambre, c’est celle qui a le dessus de lit bleu ?
    
    • Oui !
    
    • Alors vient.
    
    • Oui, Jocelyne.
    
    En chemin, sur quelques mètres, elle détache son ceinturon avec son arme et ses menottes qu’elle me donne.
    
    Elle commence à déboutonner sa chemise d’uniforme sur laquelle son nom est marqué et la laisse tomber au sol.
    
    Nous rejoignons mon lit et nous roulons dessus.
    
    Son flingue tombe au sol ainsi que la paire de bracelets, j’ai mieux à faire que de les garder dans ma main.
    
    Ma figure tombe sur ses seins nus.
    
    Je découvre une chose extraordinaire au moment où je les embrasse passionnément passant de l’un à l’autre.
    
    Ses mamelons sont en érection, je sens que les miens ...