1. COLLECTION PUTE. Grand-mère Odette. Saison III (8/9)


    Datte: 25/06/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... seront parties, peux-tu emmener la panière et tous cacher ?
    
    « Bien sûr, je le fais tout de suite. »
    
    • Je viens de voir mamy, mais je t’en dirais plus quand j’arriverais.
    
    Là aussi, il y a des décisions à prendre.
    
    Dernier point, en même temps que, la ferraille brillante, emmène aussi les machins en plastique ainsi que le truc que j’avais dans ma chatte.
    
    À ce moment passe près de moi un monsieur âgé avec sa perfusion.
    
    J’ai beau faire attention aux mots que j’emploie, le mot chatte m’échappe.
    
    Il lève la tête faute certainement de pouvoir lever sa queue quand je parle de ma chatte.
    
    • Sur le bureau, il y a différentes chemises dont une rose met les dans le coffre sans refermer la porte.
    
    À oui, s’il reste des billets dans la caisse, eux aussi rangent les à l’intérieur. Surtout pas touche à ceux dans la panière que tu vas emmener, on ignore leur provenance et s’ils sont propres.
    
    Je quitte mamy, je serais bien restée plus longtemps, mais les emmerdes m’appellent.
    
    Lorsque sur ma Vespa, je passe devant les bureaux de Serge, le comptable, la grosse Audi qui était devant, brille par son absence.
    
    Il y a un papier collé sur la porte.
    
    Je m’arrête.
    
    « Fermeture temporairement. »
    
    Si c’est ce que je pense et qui a fait partie de mon rêve, cette porte close risque de le rester un bon moment.
    
    Je gare ma Pétrolette et je rejoins Sacha.
    
    • Tout est fait, c’est d’équerre.
    
    • J’appelle la police, laisse-moi seule, je t’appèlerais si c’est ...
    ... nécessaire.
    
    Tu joueras l’incrédule et tu leur donneras des renseignements les plus simples possible.
    
    Le bar a l’avantage d’être un peu retiré et sans voisinage intempestif.
    
    Je fais un tour rapide, tout semble d’équerre, à part le bordel dans ce bordel.
    
    Je sais que je joue gros, je peaufine le scénario en plaçant le dossier rose à moitié sorti et des feuillets au sol et à moitié sortie !
    
    J’appelle la maréchaussée.
    
    Ils arrivent une femme et deux hommes.
    
    • Bonjour, Lieutenant Ludivine, c’est vous mademoiselle Gladys qui avez appelé ?
    
    • Oui, la maison de ma grand-mère a été cambriolée.
    
    • Et ou se trouve madame Odette !
    
    • Je vois que vous connaissez, ma grand-mère.
    
    Elle a été victime d’une attaque et est en ce moment sur son lit d’hôpital.
    
    • Les filles étaient là.
    
    C’est la nana jolie brune malgré sa tenue de gendarme qui semble la cheffe qui me parle.
    
    • Non, nous avions fermé après son hospitalisation.
    
    J’avais rendez-vous avec son médecin à 15 heures à l’hôpital.
    
    La gendarmette prend des notes sur un calepin.
    
    • Il pourra le confirmer.
    
    • Oui, docteur Sala, mais il m’a parlé un peu plus tôt que prévu, c’est pourquoi je suis rentrée en avance, ma grand-mère devant se reposer, elle est encore dans le coma.
    
    C’est dur de répondre de façon cohérente, sans rien omettre, l’heure de mon appel à son importance.
    
    Nous entrons.
    
    Ils font le tour du bar et des chambres des filles ainsi que la partie privée de mamy.
    
    • Ça ressemble à un ...