1. Douceurs lesbiennes


    Datte: 19/08/2018, Catégories: ff, fist, double, fsodo, init, Auteur: Nooz, Source: Revebebe

    ... heureuse de t’avoir dépucelée.
    
    Marie regarde les deux objets luisants de ses sécrétions intimes : le petit sexe encore attaché sur son harnais est plus gros et plus long que celui de son mari, et pourtant elle l’a accepté sans grandes difficultés. Un frisson envahit tout son corps.
    
    — Je ne pensais pas que je pouvais prendre tant de plaisir ; quand Marc a essayé de me sodomiser, la douleur était intense et nous n’y sommes jamais arrivés, même si au départ nous étions tous les deux d’accord pour essayer.
    — C’est normal : les préliminaires sont importants pour pratiquer la sodomie, surtout la première fois. Maintenant, cela te sera plus facile si tu le désires ; et pour ce soir, tu seras à même de tester deux vraies queues. Tu verras : c’est encore plus fort si les hommes qui te pénètrent ont de l’expérience. Mais pour l’instant, ma chérie, il faut te reposer ; tu dois être en grande forme pour Georges ce soir. Tu n’imagines pas son excitation depuis qu’il sait que vous allez ensemble auCarpe Diem. Nous n’avons pas fait l’amour, et il ne s’est pas branlé pour te donner toute sa forme.
    
    Elle pose sa main sur son abdomen, termine de la calmer ; elle s’endort lentement, la tête pleine d’images agréables.
    
    —ooOoo—
    
    — Allez, debout fainéante !
    
    Marie regarde l’afficheur digital de sa montre : 13 heures. Katie, dans un peignoir en soie, pose sur le lit un immense plateau puis s’assoit à côté d’elle.
    
    — Il faut que tu reprennes des forces : l’après-midi va être ...
    ... chargé. Je vais te préparer et te trouver une tenue adéquate pour ce soir.
    
    Elles dévorent toutes les deux l’intégralité du plateau. Marie glisse sa main sous les draps et caresse l’intérieur des cuisses de sa compagne.
    
    — Non, Marie ! Si tu commences comme cela, je vais craquer et nous n’aurons pas le temps de bien te préparer. Va vite à la douche.
    
    Sa main vient d’atteindre le ventre.
    
    — Et froide pour te calmer, s’il te plaît !
    
    Tout se précipite : deux heures dans le plus huppé des salons de la ville, massage aux huiles essentielles, épilation totale, il ne lui reste plus un seul poil sur tout le corps ; jamais elle ne s’est sentie si nue et si reposée. Dans le magasin spécialisé, elle essaie une multitude de tenues. Toutes sont excitantes, de la guêpière soulignant sa poitrine à la robe ne cachant que le strict nécessaire ; Marie ne sait pas quoi choisir. Toutes sont magnifiques, et très chères. Elle finit par choisir la plus sage, une robe moulante s’arrêtant juste sous les fesses, sous laquelle on ne peut rien mettre. Elle est si fine que même ses aréoles se dessinent sur le tissu. Elle s’exhibe devant Katie, montée sur des talons aiguilles qui augmentent la cambrure de ses reins.
    
    — Tu es magnifique ; mais pour ma part, je préférais la première.
    — Celle qui est avec la guêpière et le mini-string ?
    — Oui, ma chérie : quand tu la portes, je suis dans tous mes états.
    — Je préfère l’autre, prononce-t-elle d’un ton boudeur.
    — Bon, d’accord. On achète les deux, et ...
«1...3456»