1. Douceurs lesbiennes


    Datte: 19/08/2018, Catégories: ff, fist, double, fsodo, init, Auteur: Nooz, Source: Revebebe

    ... dernières phrases ; l’index qui tourne autour de ses grandes lèvres et la langue qui saute d’un téton à l’autre ne sont pas étrangers à son émoi. Marie ne laisse aucun centimètre de sa peau sans un baiser ou un coup de langue. Les doigts ne sont pas inactifs non plus : ils fouillent son intimité, pénètrent profondément dans son ventre, ou effleurent puis pincent le clitoris à la limite de la douleur. Katie souffle, se tord, geint. Marie se replace entre les jambes et sa bouche recueille le fruit de son travail, puis elle change de stratégie et calme son amante en ne posant que des petits baisers sur l’intérieur des cuisses. La respiration de Katie revient à la normale, mais elle sait que Marie a orchestré cette descente pour mieux l’emmener vers des hauts cieux.
    
    Elle n’attend pas longtemps : un souffle chaud atteint ses muqueuses, et les lèvres de Marie aspirent la peau soyeuse de ses chairs. Elle laisse échapper un petit cri de surprise quand soudain son amante étire la peau délicate ; elle trouve la caresse délicieuse et le lui exprime en mots crus. Elle réitère la même action sur l’autre grande lèvre. Son délicieux bourreau remarque les mouvements non contrôlés des muscles intimes et l’énorme quantité de liquide qui s’écoule en direction du périnée et de l’anus.
    
    Marie joint trois doigts de sa main droite en forme de triangle et force le sillon fessier pour se positionner contre les sphincters. Elle reste ainsi, relève son visage à la recherche des yeux de son ...
    ... amante et, les trouvant, appuie sur les chairs humidifiées par son plaisir vaginal et pénètre d’une seule poussée rectiligne. Katie se contracte mais ne peut résister plus, et exhale fortement. Le pouce se pose sur le clitoris et déclenche un orgasme violent. Elle se débat, augmentant la pénétration, et par la même occasion prolonge son plaisir.
    
    Couchée sur le dos, elle reprend son souffle, le ventre encore secoué de spasmes. Marie la regarde, fière de son résultat.
    
    — Si tu crois, espèce de jolie garce, que tu vas t’en sortir comme ça…
    
    Elle se rue sur le corps de son amante dans une violence contenue ; elle masse, empoigne, pince. Devant l’assaut en règle, Marie commence à prendre plaisir à sentir ces mains qui ne l’avaient jamais touchée ainsi. Ses seins empaumés si fortement réagissent en gonflant. Quand les doigts de Katie prennent possession de son ventre, ils pénètrent sans difficulté ; la main finit même par pénétrer intégralement, lui arrachant un cri mêlant la surprise et le plaisir.
    
    — Tout à l’heure, tu m’as fait crier comme une chienne, et maintenant tu es tout ouverte.
    
    « Mon Dieu ! Elle a raison : jamais je n’ai été aussi ouverte. Si elle continue à me fouiller comme ça… Oh ! Il faut que je résiste, ne pas jouir maintenant, non, je ne veux pas ! »
    
    Elle ferme les yeux et se concentre. Katie ressort lentement sa main. Son attitude change : la furie du début devient une chatte douce et légère. Par petites impulsions, elle force Marie à se coucher sur le ...
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