1. Douceurs lesbiennes


    Datte: 19/08/2018, Catégories: ff, fist, double, fsodo, init, Auteur: Nooz, Source: Revebebe

    ... seins qui pointent vers le plafond, et son ventre rond et lisse d’une tonicité étonnante.
    
    La nuit a été un feu d’artifice de plaisir.
    
    Katie grogne et écarte ses jambes ; son ventre est maintenant offert à Marie. La vulve est ouverte, les grandes lèvres charnues ne cachent que partiellement le rose nacré de son intimité, sage actuellement, mais elle se souvient du jus qui ruisselait sur sa langue et que sa bouche absorbait avec délice.
    
    Le lit est un champ de bataille dévasté ; les couvertures sont au sol, et de multiples taches parsèment les draps. Au pied du lit, bloqué par le montant inférieur, elle aperçoit l’olisbos qu’elle a partagé, et surtout elle reconnaît le double dildo sur lequel elles se sont empalées toutes les deux jusqu’à ce que leurs clitoris se frottent. Le souvenir de la jouissance obtenue par l’intermédiaire de cet objet déclenche un frisson.
    
    Katie ouvre un œil, s’étire et se retourne en direction de son amante. Marie approche son visage et leurs langues se rencontrent et s’effleurent. Elle rompt le charme.
    
    — Bonjour !
    
    Les corps se rapprochent et les bouches se soudent, les corps s’imbriquent dans un instant de douceur. Enlacées, le souffle court, les deux femmes se calment. Katie caresse les cheveux de son amante.
    
    — As-tu aimé ta nuit ?
    
    Elle acquiesce d’un hochement de tête.
    
    — Au début, malgré un fort désir qui me rongeait depuis notre première rencontre, j’étais angoissée. J’avais peur de ce premier instant. Tu as compris mon ...
    ... indécision, et tes premières caresses ont été une délivrance. Tu as trouvé par petites touches tous mes points sensibles et tu m’as fait fondre. Jamais je n’aurais pensé qu’une femme me donne plus de plaisir qu’un homme. Grâce à toi, j’ai découvert ma bisexualité.
    
    Elle s’arrête un instant de parler et caresse les seins de sa compagne, puis reprend :
    
    — J’ai une question à te poser : est-ce que je t’ai rendu tout le plaisir que tu m’as prodigué ?
    — Pour être honnête, au début ton inexpérience était touchante, même troublante. Ton envie de « bien faire », ta précipitation m’ont emmenée plusieurs fois au bord de l’orgasme ; mais quand, pour me délivrer, il fallait que tu insistes sur le clitoris, tu replongeais dans ma chatte, et la frustration que tu provoquais sans t’en rendre compte me rendait folle.
    — Mais tu as quand même joui !
    — Oh oui ! Mais la première fois, tu ne t’en es même pas rendu compte : c’est la première fois où tu m’as pénétrée avec tes doigts. Je l’avais tellement fantasmé, ce moment… Ce fut si violent que j’ai failli m’évanouir.
    
    La main de Marie frotte le mont de Vénus de Katie.
    
    — Ensuite, tu as commencé à appréhender toutes les subtilités de mon corps ; tu es devenue plus à l’écoute de mes désirs, et à mesure de l’avancée de la nuit, tu as progressé. Le moment où j’ai compris que tu n’avais plus rien à apprendre, c’est quand nous nous sommes retrouvées en 69 : j’ai joui si fort que je t’ai inondée.
    
    La voix de Katie s’est modifiée sur les ...
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