1. Les retrouvailles


    Datte: 24/06/2022, Catégories: hh, hbi, cérébral, Oral hsodo, gay Auteur: Kannouteki, Source: Revebebe

    ... commençant par ce qu’il semble préférer : il pose un peu de salive sur le gland et le masse doucement. Quand il croise le regard de Franck qui semble le supplier de continuer, il insiste avec plus de vigueur sur le frein ainsi que le prépuce, et ceci lui arrache un râle de plaisir.
    
    Le retour en arrière n’est plus possible. Thibaut entreprend alors de lubrifier toute la queue avec sa salive. Il crache dans sa paume, enserre le membre raide de Franck et, fermement, y glisse sa main du frein jusqu’à la base des poils pubiens. Il recrache, recommence l’exercice, et sans lâcher la pression sur la verge, entame une masturbation soutenue en déroulant le prépuce à chaque va-et-vient.
    
    — Pfff comme c’est bon, continue, murmure Franck, la tête entre les mains.
    
    Thibaut, encouragé, redouble de passion pour cette bite offerte à lui. Elle le fascine. Son odeur l’enivre. Il peut en étudier toute la surface, chaque repli, chaque veine, chaque pulsation. Quand enfin Franck semble complètement à sa merci en écartant un peu plus les cuisses, Thibaut comprend ceci comme une invitation à s’occuper de ses énormes couilles. Il glisse donc une main sous les bourses et les soupèse.
    
    Thibaut s’amuse d’abord à les faire rebondir entre ces doigts. Franck respire bruyamment, et quand son ami enserre ses couilles tout en lui malaxant le gland, il bascule la tête en arrière pour exhaler un long râle de plaisir.
    
    — Oh putain, Thibaut, j’aime tellement ça !
    — Content que ça te plaise, répond ...
    ... Thibault laconiquement.
    — Je peux encore tenir un moment, t’inquiète.
    — Oui, moi aussi, et plus on se retient de gicler, plus c’est jouissif.
    — Je sais. Par contre, je commence à avoir vraiment chaud, je pue la sueur, constate Franck en soufflant.
    — T’inquiète pas, moi non plus je ne sens pas la lavande, mais on s’en fout, on ira se doucher demain au réveil.
    
    Les deux hommes toujours sur le lit de Thibault s’adossent au mur, un oreiller coincé dans le dos. Assis à quelques centimètres l’un de l’autre, leurs cuisses se touchant presque, ils reprennent leur masturbation en solo, leurs sexes redoublant vite de volume sous leurs caresses.
    
    À mesure qu’ils se branlent, leurs râles s’intensifient. La sueur perle sur leurs torses luisants. La chaleur de la nuit est étourdissante. Et ils n’ont plus aucune gêne à regarder ouvertement comment s’y prend l’autre ni à exhiber fièrement leurs lourds attributs de mâle. Leur complicité est totale, leur jouissance fraternelle.
    
    Il leur fallut encore dix bonnes minutes de labeur sur leurs bites pour atteindre le point de non-retour. Le silence de l’aube est rythmé par leur souffle court et leurs gémissements.
    
    Leurs corps se touchent désormais, leurs membres raides convulsent, en transe, avec comme seul objectif les flots de sperme.
    
    Les pectoraux saillants de Franck ruissellent de sueur, ses poils pubiens humides et odorants.
    
    Thibaut secoue son sexe vigoureusement et ses couilles viennent taper ses cuisses dans un bruit saccadé. ...
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