Au beau temps des guerres en dentelles et des libertins
Datte: 19/08/2018,
Catégories:
fhh,
uniforme,
entreseins,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
historique,
initfh,
Auteur: André 59, Source: Revebebe
... littéralement à la tête pour s’offrir nos bonnes grâces. Une sorte de sacrifice humain, le côté sanglant en moins heureusement. Nos canons nous donnaient la puissance de dieux ; nous étions donc traités comme des dieux. Ils sacrifiaient leurs vierges à des divinités surgies de l’océan. C’était grisant. Et troublant en même temps, car l’amour physique était présent partout dans ces îles. Et nos marins se sont étourdis de plaisir. À en perdre la raison parfois.
— Et vous-même ? demande Elizabeth, d’un air coquin.
— Moi aussi, bien sûr. Ce fut ma première fois.
— Racontez, je vous prie. Et ne vous souciez pas de ma cousine Catherine.
— Comme je vous l’ai dit, leurs conventions ne sont pas les nôtres. Une fille peut ainsi avoir un enfant sans être mariée. Au contraire, même, son clan en tire orgueil, car elle a prouvé sa fertilité. Cela rend sa valeur encore plus grande. Ainsi, alors que je me promenais seul, un groupe s’est saisi de moi et m’a proprement mis dans les bras d’une des femmes du roi qui m’attendait dans un « faré », une maison tahitienne. Femme d’expérience, visiblement. Elle m’a déshabillé sans que j’aie le temps de dire quoi que ce soit. Puis avec le plus grand naturel, elle a appelé une autre jeune femme qui attendait dehors. Elles ont brièvement discuté, en regardant mon membre d’abord puis en le manipulant ensuite. Visiblement, elles avaient parfaitement compris que j’étais vierge. La plus âgée m’a poussé sur une natte en feuilles de palmier et a commencé ...
... à me prendre dans sa bouche, directement, sans aucun préliminaire. J’étais paniqué. J’avais tellement entendu parler de rites cannibales dans ces îles que j’ai cru dans les premières secondes être dévoré vivant. J’ai très vite compris mon erreur. Lorsqu’elle a jugé la taille et la dureté convenables, elle a hoché la tête d’un air satisfait et a fait signe à l’autre fille. Celle-ci a fait tomber son pagne et elle est venue tranquillement s’embrocher sur mon vit pour me chevaucher, les yeux fixés sur moi, avec un sourire incroyable. Elle avait pris mes mains et les avait posées sur ses seins. À l’époque, j’ai cru que c’était de plaisir, mais je me demande si elle n’était pas sous l’influence d’un narcotique ou autre substance hallucinogène dont leurs sorciers ont le secret. Sa compagne chantait une curieuse mélopée pour accompagner le balancement de ses hanches. J’en avais la tête qui tournait, et évidemment je me suis demandé ce qui m’arrivait lorsque j’ai joui à grandes saccades dans son ventre. Ensuite, elles sont parties l’air ravi en me plantant là, nu, avec mon uniforme éparpillé un peu partout. Au passage, elles avaient emporté mon chapeau et ma boucle de ceinturon : la notion de propriété individuelle n’existe pas pour ce peuple. Étonnant et un peu frustrant, je l’avoue. Peut-être ai-je aujourd’hui un héritier là-bas, traité comme un demi-dieu ou un prince de sang. Je me plais à l’imaginer parfois.
— Étonnant, comme vous dites. Et ont-ils des interdits ?
— Pas que je ...