1. "Prenez-moi comme vous voudrez !"


    Datte: 21/06/2022, Catégories: grp, couplus, extraoffre, grossexe, fsoumise, fdomine, ffontaine, facial, Oral 69, fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, hdanus, coprolalie, confession, libercoup, dominatio, Auteur: Mr Pitiful, Source: Revebebe

    ... la vie commune. L’échange avec d’autres partenaires avait toujours fait partie des fantasmes que nous nous racontions pour accroître notre désir, bien avant de songer à le mettre en pratique. J’aurais été totalement incapable de la traiter en femme soumise dans le cadre de notre simple relation conjugale. Nous ne pratiquions que très exceptionnellement la sodomie, comme si cet acte, par son caractère outrageusement sexuel, pouvait venir compromettre l’épanouissement de notre vie amoureuse.
    
    Restreinte à sa dimension conjugale, notre sexualité ne nous permettait donc pas d’assumer pleinement la part d’ombre qu’elle charrie toujours, portée par les frustrations ou, au contraire, par les émotions charnelles de notre enfance. D’un naturel pourtant expansif, je ne m’étais jamais départi d’une certaine timidité envers les femmes jusqu’aux années où j’étais entré dans l’âge adulte. Je n’avais pas eu beaucoup d’aventures. Le spectacle fantasmatique de couples lesbiens, bien plus que les ébats hétérosexuels, venait abolir dans mon imaginaire la distance qui me maintenait, dans la vie réelle, à distance du corps féminin. Rien que de très banal assurément : le tribadisme, comme on disait au XIXe siècle, n’a cessé de faire fantasmer les hommes et de nourrir l’imagination des artistes. Il les renvoie au mystère insondable d’une sexualité féminine qui leur échappera toujours.
    
    Que Nathalie put abandonner son corps à une autre femme devant moi me rendait spectateur de ce mystère et ...
    ... me procurait une puissante émotion esthétique et pas seulement charnelle. Qu’y a-t-il de plus beau que deux jolies femmes s’adonnant à des caresses lascives, exhibant leur corps tendu vers un désir qui nous est à la fois inconnaissable et inaccessible ? Dans tous les domaines de la vie, la beauté ne nous apparaît telle que lorsque nous sentons bien que réside en elle quelque chose qui demeurera à jamais insaisissable. Nathalie ne m’avait jamais paru plus belle que sous l’emprise des gestes de plus en plus osés de Véra.
    
    Véra vint se placer derrière sa partenaire et se mit à lui lécher méticuleusement le pli intérieur des fesses. Toujours bien obéissante, Nathalie se laissait faire en continuant de les écarter du mieux qu’elle pouvait. Après quelques instants, Véra y introduisit un doigt sans grande difficulté. Régulièrement, elle portait ce doigt à sa bouche pour l’humidifier. Elle le fit coulisser de plus en plus vite, de plus en plus loin, dans l’anus de Nathalie.
    
    — Voilà ce que j’appelle un petit trou du cul déjà bien desserré, dit Véra ! Qu’est-ce que vous en pensez, les hommes ?
    
    Véra introduisit alors deux de ses doigts, humectés de salive, dans l’anneau postérieur de Nathalie. De son autre main, elle se remit à la masturber. Ma femme, restée jusque-là silencieuse, se mit à émettre des gémissements, d’abord discrets, puis de plus en plus explicites, sous l’effet des caresses simultanées que Véra exerçait sur les deux versants de son intimité. Pour accroître leur ...
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