1. "Prenez-moi comme vous voudrez !"


    Datte: 21/06/2022, Catégories: grp, couplus, extraoffre, grossexe, fsoumise, fdomine, ffontaine, facial, Oral 69, fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, hdanus, coprolalie, confession, libercoup, dominatio, Auteur: Mr Pitiful, Source: Revebebe

    ... de pouvoir exhiber devant son mari, tel un trophée, cette intimité soumise. Renonçant d’emblée à toute pudeur, Nathalie offrait ainsi son sexe béant à l’étalage, comme pour annoncer à Pierre qu’il pouvait dorénavant en disposer à sa convenance, et pas seulement pour faire du lèche-vitrines.
    
    — Tu vois comme je lui ai déjà bien ouvert la chatte ? dit Véra. Tu sais Pierre, je crois qu’on tient une belle petite cochonne. Elle est déjà toute mouillée.
    
    Véra porta ses doigts à la bouche pour lécher la liqueur dont ils s’étaient imprégnés, avec les mêmes bruits de succion gourmands que peut émettre l’œnologue qui déguste un grand cru.
    
    — Hmmm, j’ai déjà envie de l’avaler toute crue !
    
    Elle avait bien dit « l’avaler » et non pas « t’avaler ». Véra affectait de ne parler de ma femme qu’à la troisième personne, sauf lorsqu’il s’agissait de lui donner un ordre. Cela devait faire partie du plan destiné à la transformer en simple objet de plaisir.
    
    Sa main se replaça entre les cuisses de ma femme.
    
    — Pierre, si tu montrais le bel outil dont tu vas te servir pour défoncer notre nouvelle amie dans les grandes largeurs ?
    
    Pierre ne se fit pas prier et sortit son sexe, dont, je dois le dire, la dimension imposante provoqua chez moi un certain trouble. Je ne fus pas le seul. Nathalie me confia par la suite qu’elle en avait été impressionnée elle aussi, et qu’elle ne s’attendait pas à ce que Pierre soit aussi bien « monté ». Non seulement elle ne s’était jamais offerte à un homme ...
    ... avec une telle impudeur, mais jamais elle n’avait été pénétrée par un membre de cette taille.
    
    — C’est du bon matériel, tu ne trouves pas ? dit-elle à Nathalie en redoublant ses caresses sur son sexe. Dis-lui qu’elle te plaît sa grosse bite.
    — Oui, elle me plaît, répondit Nathalie dans un soupir.
    — Mieux que ça, s’il te plaît. Et quand je te dis « s’il te plaît », c’est seulement pour la forme…
    — Elle me plaît ta grosse bite, dut alors confesser Nathalie, sur un ton qui paraissait encore, malgré tout, mal assuré.
    
    Je pensais qu’elle devait être déjà passablement excitée pour employer un langage aussi cru, qu’elle n’adopte habituellement entre nous qu’au comble de son désir, peu avant l’orgasme. Il est vrai qu’elle avait elle-même choisi de se prêter sans réserve à un rituel de soumission qui, comme tout rituel, impose l’emploi de vocables précis. Mais Nathalie avait reçu une éducation très stricte, comme bien des jeunes filles de sa génération. Cette éducation s’accordait mal avec son goût prononcé pour le sexe qui, m’avait-elle confié, s’était affirmé précocement chez elle, sans doute stimulé par l’interdit qui régnait dans sa famille.
    
    Elle ne pouvait s’empêcher de ressentir une forte culpabilité à chaque fois qu’elle se masturbait, inventant parfois des épreuves pour s’autoriser à le faire, et s’imposant même d’y renoncer parfois – mais rarement ! – lorsqu’elle n’était pas parvenue à les surmonter. Durant toute son adolescence, cette culpabilité était devenue une ...
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