1. "Prenez-moi comme vous voudrez !"


    Datte: 21/06/2022, Catégories: grp, couplus, extraoffre, grossexe, fsoumise, fdomine, ffontaine, facial, Oral 69, fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, hdanus, coprolalie, confession, libercoup, dominatio, Auteur: Mr Pitiful, Source: Revebebe

    ... talons, comme il se doit dans les circonstances où l’on ne peut guère s’affranchir de certains clichés, n’était revêtue que d’une courte robe noire, sans rien dessous. Un large décolleté ne laissait rien ignorer de sa belle poitrine, dont le galbe venait magnifier le plissement naturel de l’étoffe à chacun de ses mouvements. Véra, quant à elle, avait opté pour une juge fendue mi longue et un léger corsage de soie rose pâle, couvrant, comme je m’en apercevrai plus tard, des bas noirs à porte-jarretelles et une lingerie de couleur rouge foncé tirant sur le violet. Pierre et moi-même, en cette chaleur d’été, nous nous étions contentés d’enfiler un simple pantalon de toile et une chemise aux manches retroussées.
    
    Nos hôtes nous conduisirent au salon, où de larges baies vitrées ouvraient sur un jardin déjà plongé dans l’obscurité. Nous étions dans ces soirées de la fin du mois d’août qui font regretter l’été qui s’achève. L’éclairage tamisé était orangé par la lueur de bougies dispersées aux quatre coins de la pièce. Elles y distillaient une ambiance chaleureuse, en dépit de l’austérité minimaliste d’un mobilier contemporain, du plus bel effet cependant. Je relevais l’absence de livres, mais nous n’avions pas choisi nos partenaires pour engager une discussion littéraire. Et puis après tout, la maison paraissait suffisamment spacieuse vue de l’extérieur pour qu’une bibliothèque y fût aménagée dans une autre pièce. On comprendra aisément pourquoi je n’ai pas jugé le moment ...
    ... propice pour tenter de m’en informer.
    
    Après les salutations et les amabilités d’usage, agrémentées de quelques verres (du vin blanc pour Nathalie, qui n’apprécie guère le champagne), notre soirée tant attendue put enfin commencer. C’est Véra qui, comme il en avait été convenu, ouvrirait les débats… ou les ébats, devrais-je dire plutôt. Elle nous invita, Pierre et moi, à prendre place côte à côte sur le canapé, dont le design moderne et les lignes épurées ne l’empêchaient pas d’être large et confortable.
    
    Véra prit Nathalie par la main et l’amena face à nous au milieu de la pièce.
    
    — Eh bien, maintenant, ma belle, tu vas te mettre entièrement nue.
    
    Et comme Nathalie marquait un petit temps d’hésitation, surprise par la brusquerie de l’injonction, Véra ajouta plus sèchement :
    
    — Mais oui, tu es là pour cela n’est-ce pas ? Alors, ne fais pas ta mijaurée ! Fous-toi à poil !
    
    Nathalie n’eut qu’à défaire quelques boutons, écarter les fines bretelles et la robe s’affala sur ses escarpins.
    
    C’est ainsi que, splendide et encore intimidée, elle dévoila sa nudité intégrale à nos regards concupiscents. Nos hôtes ne purent réfréner un petit sourire carnassier, dont je ne sais s’il était empreint d’admiration ou d’ironie, ou plus sûrement du désir de prendre possession d’une femme qui leur abandonnait son corps si docilement.
    
    — Hmmm, fit Véra, quels jolis seins que voilà ! J’en ai déjà l’eau à la bouche… Regarde-moi ça, chéri, dit-elle à son mari, je crois qu’on va pouvoir bien ...
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