1. "Prenez-moi comme vous voudrez !"


    Datte: 21/06/2022, Catégories: grp, couplus, extraoffre, grossexe, fsoumise, fdomine, ffontaine, facial, Oral 69, fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, hdanus, coprolalie, confession, libercoup, dominatio, Auteur: Mr Pitiful, Source: Revebebe

    ... bien que tu es impatient de venir démonter ta femme, mais laisse-moi encore un peu lui lécher le cul, ça la rend folle !
    
    Sans attendre naturellement une quelconque approbation de ma part, Véra reprit le léchage méthodique de l’intimité anale de Nathalie, pendant que Pierre lui besognait la chatte aussi vigoureusement qu’il lui avait ramoné le cul. La mélopée repartit de plus belle et un musicien, chargé d’en recueillir les notes un peu étranges, aurait annoté sa progression de piano à forte.
    
    Enfin, Véra me laissa la voie libre. Elle ne s’était évidemment pas trompée et je n’eus aucun mal à m’introduire d’un coup jusqu’à la garde. Nathalie émit un râle de plaisir quand elle sentit que nos deux sexes étaient désormais plantés au plus profond de ses tripes. Cette fois, je pense même qu’un fortissimo placé à hauteur de l’intonation de ses cris eût été trop faible. Il faut dire que Pierre et moi parvînmes à établir tacitement une parfaite complicité virile en la circonstance. Et pour une fois, Véra cessa de s’en mêler. Elle se contenta de se branler en nous regardant. Il est vrai que le spectacle que nous lui offrions tous les trois ne devait pas lui paraître dénué de tout intérêt. Nous fîmes en sorte de bien coordonner nos mouvements de pénétration, ce qu’imposait par ailleurs la dimension hors-norme du sexe de Pierre, qui rendait difficile l’introduction simultanée de nos sexes dans les deux orifices. Quand nous tentions de récupérer un peu, surtout moi qui, placé debout ...
    ... à l’arrière-garde, avais une position plus inconfortable que la sienne, nous nous enfoncions tous les deux, sans bouger, dans les deux trous de Nathalie, et je sentais l’énorme pression que la bite de Pierre exerçait sur l’autre face de sa paroi vaginale. Puis la mécanique parfaitement huilée, dans tous les sens du terme, repartait de plus belle, l’un poussant sa queue à fond, tandis que l’autre la retirait jusqu’au gland.
    
    J’étais comblé de pouvoir procurer autant de plaisir à ma femme en lui labourant le cul avec autant de passion que d’application. Mais Pierre gardait quand même pour lui le meilleur. Face à lui, à portée de sa bouche, les seins de Nathalie se dodelinaient majestueusement sous nos assauts, comme des cavaliers lourdement armés méprisant la charge de l’infanterie légère. Il avait beau tout faire, les soulever, les malaxer, les compresser, les étirer, écraser sa langue sur leurs mamelons, aspirer fortement leurs tétons entre ses lèvres, les deux seigneurs reprenaient toujours leur ronde altière au pas tranquille, indifférents aux grands soubresauts du monde. Ils ignoraient superbement les cris de guerre de leur suzeraine qui, en vain, les appelaient au combat. Et comme à la parade, ils défilaient tête haute en se balançant lentement sous les yeux ravis et un peu ahuris de Pierre.
    
    Nathalie tenta de me décrire par la suite, à vrai dire sans succès, la sensation extraordinaire que lui avait procurée cette double pénétration.
    
    — C’était comme un mouvement ...
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