1. Elisabeth s'éveille (14)


    Datte: 17/06/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Eniluap, Source: Xstory

    ... dernières années.
    
    — Jouis ! ordonna-t-elle. Je veux que ton cul jouisse sur ma queue !
    
    — Oui ! Oui plus loin, baise-moi, baise la pute que tu as faite !
    
    Maman donna quelques derniers coups qui furent fatals puis me laissa, chancelante, comme anesthésiée, me remettre de mon orgasme. Je sentais mon anus ouvert et rougi, ma fente dégoulinante. Cette fois, j’étais devenue la pute de la famille. Plus aucun doute n’était permis.
    
    Le même soir...
    
    Serein et excité, j’attendais impatiemment Ivan, mon fils, et Emma, ma délicieuse et délicate petite-fille. Toutes les conditions étaient réunies pour que nous passions une bonne soirée, chaude et érotique.
    
    Elisabeth était restée à la demeure familiale, fatiguée à cause de la reprise des cours. Je savais également qu’Anne, ma douce belle-fille, la plus cochonne des belles-filles qu’Ivan m’avait présentée, comptait lui révéler qu’elle savait tout des petits secrets de son aînée. Bien évidemment, je n’étais pas étranger à cette mise en scène.
    
    Anne et moi avions, depuis quelques années, compris que nous nous plaisions mutuellement. Elle était petite, blonde, au corps parfaitement proportionné. Elle avait ce côté bourgeois qui m’excitait terriblement tant elle cachait bien son jeu. Or, mon expérience de la vie et des femmes m’avait appris qu’il fallait se méfier de l’eau qui dort. Ainsi, il ne m’avait pas fallu beaucoup de temps et de moyens pour réussir à enfoncer mon pénis tout au fond de sa vulve chaude et accueillante. ...
    ... Je ne peux pas dire qu’il s’agissait d’une relation suivie, car elle était largement satisfaite par mon fils et nous ne nous voyions que ponctuellement, quand l’occasion se présentait ou l’idée de se vautrer dans la débauche se faisait trop pressante.
    
    Ma belle-fille était donc venue se plaindre, quelques jours plus tôt, que mon fils la délaissait et, tout d’un bloc, m’avait demandé si j’étais au courant d’une éventuelle infidélité. J’étais resté con et elle l’avait remarqué. Impossible de faire marche arrière. Je la vis donc se mettre à tergiverser, à conjecturer, à réfléchir : qui pouvait bien avoir mis le grappin sur son mari et, surtout, quand ? Il ne sortait jamais avec des amis ou suffisamment rarement et à des heures raisonnables pour ne rien soupçonner. Si elle s’interrogeait, c’était avant tout, car il ne la touchait plus ou très peu, ce qui ne lui ressemblait guère. Elle m’avait supplié de lui dire tout ce que je savais, au nom de notre proximité et des chaudes heures que nous avions connues dans les bras l’un de l’autre.
    
    J’avais tout révélé - j’avais surpris Eli et Ivan au fond du jardin, plusieurs semaines plus tôt ; j’avais baisé Eli le lendemain ; nous formions un trio obsédé et débauché. Et, dernièrement, Eli avait même initié sa petite sœur à nos jeux érotiques.
    
    Anne était restée silencieuse tout d’abord et avait baissé la tête. Je m’attendais à des cris, des pleurs, tout ce que j’aurais difficilement pu soulager, mais que j’aurais compris. Il n’en fut ...
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