1. Elisabeth s'éveille (14)


    Datte: 17/06/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Eniluap, Source: Xstory

    ... pute.
    
    Elle s’approcha encore et je sentis le bout de sa langue se poser sur ma fente que je sentais humide et que je savais luisante. Notre conversation et son comportement m’avaient excitée au plus haut point. L’idée ne m’avait jamais effleuré, comme avec Emma, même si je devais bien reconnaître que ma mère était une belle femme. Mais nos relations compliquées ne m’avaient bien évidemment jamais aidée à imaginer ce genre de rapports.
    
    — Maman... tu ne peux pas... gémis-je en me penchant pourtant davantage.
    
    — Toute la famille te baise et te passe dessus et moi, ta propre mère, je n’aurais pas le droit de m’amuser avec toi et de t’utiliser ?
    
    Et, sans attendre de réponse, elle plongea sa tête entre mes cuisses pour lécher mes chairs intimes. Des gémissements me parvenaient, ma propre mère était excitée en mangeant ma petite chatte ! C’était du délire.
    
    — Tiens tes fesses bien écartées, m’ordonna-t-elle.
    
    Je m’exécutai, toujours cambrée et offerte à cette perversité nouvelle. Maman dévorait littéralement ma chatte, s’abreuvait de mon jus, je coulais littéralement dans sa bouche et sur son visage. Quand sa langue passa de mon clitoris à l’intérieur de mon petit trou brûlant, je hurlai mon plaisir. Elle me pénétrait avec sa langue experte et chaude, c’était délicieux.
    
    — A quatre pattes, dit-elle.
    
    J’obéis, les jambes flageolantes, car proche de l’orgasme. Maman s’allongea et me poussa vers elle. Je me retrouvai assise sur son visage, mes hanches se balançant ...
    ... d’avant en arrière pour mieux sentir sa langue en moi. Je transpirais, mon souffle devenait de plus en plus court.
    
    — Joue avec tes seins !
    
    J’attrapai mes deux mamelles dures et tendues et fis tourner mes tétons. Je criai, la suppliai d’aller plus vite... jusqu’à ce qu’un cri déchirant perce la quiétude de la maison. Mes jambes tremblèrent et, pantelante, je m’assis à même le sol. Un courant d’air frais rafraîchit mon entrejambe brûlant et je sentais la cyprine m’inonder.
    
    Maman se leva et me regarda, satisfaite, comme si elle venait d’achever une belle proie. Elle s’assit sur le lit, dénoua la ceinture de son peignoir et écarta les cuisses.
    
    — Maintenant, lèche-moi.
    
    — Je ne sais pas...
    
    — Bien sûr que si ! Tu lèches ta sœur, tu sais faire jouir une femme. Et je meurs d’envie de souiller ta petite bouche de pute.
    
    Elle m’attrapa par les cheveux et approcha mon visage de son minou. Une fine bande de poils ornait son pubis à la peau blanche. Sa chatte ressemblait à celle d’Emma - petite, elle avait l’air serrée.
    
    — Maman, je ne veux...
    
    — Fais-le !
    
    A contrecoeur, je m’approchai encore plus et sortis timidement ma langue pour la poser sur son clitoris gonflé et apparent. Maman poussa un soupir d’aise et lâcha mes cheveux. Elle s’appuya sur ses coudes et me contempla longuement : que pensait-elle tandis qu’elle voyait sa fille, son aînée, qu’elle avait chérie dès sa naissance, à genoux face à sa chatte qui ne réclamait que jouissance ? Que se dit-elle quand ...
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