1. On Ne S'habitue Jamais


    Datte: 17/06/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bySalomeD, Source: Literotica

    ... de son sexe. Je sais que désormais, plus rien ne sera comme avant.
    
    Dès que ce premier homme, ce premier violeur, ce premier bourreau, s'est retiré du lit, un autre prend sa place. Il me gifle, sans raison, juste par plaisir. Un plaisir sadique et pervers qui les font se montrer violent, envers moi, la victime, leurs jouet. Puis, il me pénètre, encore plus brutalement que le premier. Il me fait pleurer de douleur encore plus fort. J'ai la bouche grande ouverte mais plus aucun son ne peut sortir. Un des hommes en profite pour enfoncer son épaisse queue noire à l'intérieur.
    
    J'essaie de retirer ma tête, de fermer ma bouche, mais j'arrive seulement à mordre. Le propriétaire de la queue crie alors, il attrape mes joues et les presse douloureusement avec ses grandes mains. Il serre mes narines entre le pouce et l'index, je ne peux plus respirer.
    
    - Si tu mords encore, je vais te frapper si fort que tu ne pourras plus entendre! tu vas me sucer comme la vraie salope que tu es!! Mais aussi avaler tout ce que je te donne!!
    
    Je fait alors ce qu'il m'a ordonné, même si l'épaisseur de sa bite écarte trop fort ma mâchoire. L'homme me baise la bouche. Il me fait mal, se servant de moi comme d'un vulgaire sex-toy aux lèvres de velours...
    
    L'autre homme entre mes jambes tremble, il va jouir. Je prie pour ne pas qu'il se vide en moi, mais mes prières ne sont hélas pas entendues. Il pousse lui aussi fort dans mon vagin, puis il m'inonde la chatte. Un autre homme vient rapidement ...
    ... prendre sa place, pour me violer encore plus fort.
    
    La bite dans ma bouche est en train d'envoyer sa semence. Elle remplit mon gosier. Je commence à étouffer, mais il ne lâche pas prise, me forçant a garder sa queue et à avaler. Je sens alors la semence, ce venin tiède au goût dégueulasse couler dans mon œsophage.
    
    D'autres hommes viennent ensuite me violer. Ils vont, et viennent, sans fin. Ma chatte et ma bouche sont dilatées, remplies sans arrêt. Je n'ai aucun répit, aucune pause, je ne fais que subir et subir leurs viols sauvage. Si je veux uriner, c'est sur le lit.
    
    Parfois, je peux entendre Shannon, elle est toujours là, violée, autant que moi, elle crie, elle hurle, elle supplie. Je ne sais pas ce qui lui font mais ça à l'air terrible, encore pire que ce que je subis. Elle hurle longtemps, très longtemps, puis je ne l'entends plus. Pourvu qu'il ne l'est pas tuée. Mais le sort que me réserve mes violeurs me fait cessé de penser à Shannon, j'ai bien assez à penser avec mon corps torturé et violé sans aucune pitié.
    
    Le temps défile, mais je ne me rends absolument pas compte depuis combien de temps je suis là, simple poupée gonflable entre leurs mains de bandits pervers. Je ne suis plus qu'une coquille vide, un simple réceptacle à sperme. J'ai dus avaler des litres de leurs semences, ils en ont déversés encore plus dans mon utérus. Je suis enceinte, c'est certain. Je ne veux pas d'un bébé, je ne veux pas d'un enfant né d'un viol. Je veux partir, rentrer chez moi. ...
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