1. On Ne S'habitue Jamais


    Datte: 17/06/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bySalomeD, Source: Literotica

    ... même!
    
    J'entends alors une voix grave dire « Elle est vraiment serrée, celle-là, je peux même pas mettre un doigt! C'est pas Lisbeth où j'arrive à entrer la main! »
    
    Quelqu'un grimpe sur moi, je continue de crier, d'essayer de me débattre, inutilement. Il soulève mes jambes sur ses épaules.
    
    -- Je vais la prendre! quand elle recevra ma bite, elle sera étirée comme un élastique!!!
    
    Je le repousse, en vain. Je peux sentir son gland sonder ma chatte, sa queue essayant de trouver mon ouverture. Puis, il est là. Je sens avec épouvante le gland presser dans mon entrée. Je crie. « Nooooon! Non! s'il vous plaît, non! » Mais cela semble au contraire l'exciter encore plus...
    
    J'ai tellement peur, j'angoisse tellement que j'urine, sans pouvoir me retenir, sans pouvoir m'arrêter. L'homme recule, surpris. Tous les autres ont rit, parce que j'ai pissé sur lui. Il est furieux. Il me gifle, plusieurs fois, avec force et méchanceté. Il veux me frapper encore plus fort, mais les autres le retire. Pas par pitié, ils ne veulent juste pas violer une fille défigurée...
    
    Je reste là, à pleurer, pendant que les autres rient de moi, de mes larmes, de ma détresse, de ma terreur...
    
    Un autre homme prend maintenant sa place, il se met entre mes jambes. Lui aussi sonde mon vagin avec sa queue. Il en trouve facilement l'entrée pourtant totalement vierge de toutes visites. Il pousse fort à l'intérieur. Je crie, je hurle. Sa bite vient frapper contre mon hymen. Je le supplie alors, lui disant ...
    ... que je suis encore vierge, que je ne veux pas ça, que c'est un viol, qu'il ira en prison.
    
    Mais pour toute réponse, j'entends un rire. Il se retire un peu, puis il pousse un grand coup vers l'avant. Cette fois je crie si fort que mes poumons ont faillit exploser. Sa queue déboule dans mon vagin, arrachant mon hymen. La douleur est insupportable, horrible, incandescente, brut. Je pense même que je m'évanouis quelques secondes.
    
    Quand je reviens à moi, l'homme a commencé à se déplacer en moi, y allant rapidement, fort, il grogne, gémit. Sa queue de noir est large, longue, dure, elle me fait mal, très mal. Elle me déchire l'intérieur, je le sais, je le sens. J'ai les jambes ouvertes, relevées, telle une soumise. Je vois les autres rire, encore et toujours, mais surtout regarder, se caresser, se branler sur mon viol immonde.
    
    Il m'a violée près de dix minutes. Dix longues minutes qui me semble une éternité. Puis je l'ai entendu dire « je vais jouir, je vais jouir! »
    
    -- Non! pas ça! pas ça! pas dedans! je... je prends pas la pilule! ai-je crié.
    
    Mais quoi que je dise, ça ne change rien. Il pousse en moi, je sens son liquide m'envahir. Il m'insulte en jouissant. Je suis très choquée par tous les noms insultant qu'il me donne.
    
    Je reste là, à pleurer doucement, quand sa bite s'adoucie. Il se retire, j'entends comme un bruit de ventouse. Je sens son liquide dégueulasse couler de mon sexe qu'il vient de massacrer, de déchirer, de détruire. Il m'a tuée, il m'a assassinée ...
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