1. Simona dans le désert


    Datte: 17/06/2022, Catégories: fhh, fplusag, couleurs, extracon, extraoffre, cocus, vacances, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe occasion, extraconj, Auteur: John Langlais, Source: Revebebe

    ... vêtirent pour la nuit. L’ambiance évoquait une certaine tension érotique pour Simona, qui adore faire l’amour dans la nature… et qui aime profiter de ses vacances naturistes pour le faire sous les étoiles.
    
    Donc, elle voulait non seulement faire l’amour, mais être baisée, une baise intense. Cependant, Vincenzo s’est plaint d’être fatigué, d’un mal de dos, et dans ses jambes. Et il ne mentait pas – après un câlin et un coït trop vite accompli, il tomba dans les bras de Morphée. Et après quelques minutes, il commença à ronfler, laissant Simona sur sa faim.
    
    Voulant prendre une cigarette, façon « Virginia Slims » pour se calmer, elle quitta la tente. Il était tard, presque toutes les lumières étaient éteintes. Elle portait sa nuisette, l’air était frais. Le froid faisait pointer ses aréoles. Son souffle commença à se raccourcir. L’excitation et le désir sexuel montaient. Et puis, elle vit que la tente des guides avait toujours de la lumière. Après un moment d’hésitation, elle approcha, toqua doucement, puis entra…
    
    Les deux guides discutaient dans leur langue, mais interrompirent leur conversation quand elle arriva. Ils lui parlèrent dans un français simple, afin qu’ils puissent se comprendre. Elle avoua la solitude de cette nuit-là, la fatigue de son mari. Lors de sa confidence, je crois que ses deux pointes sous la nuisette ne seraient pas passées inaperçues. Les guides dirent qu’ils étaient habitués à ces nuits-ci, mais que, pendant quelques longues expéditions, leurs ...
    ... familles leur manquaient parfois.
    
    Le « senior » était marié, le « junior » était toujours célibataire, mais voyait une fille de temps en temps. Il avait déjà voyagé un peu en dehors du Maroc, ayant travaillé tout près de Malaga sur un chantier pendant quelques mois. Il avait eu vingt-quatre ans, et s’appelait Younes, tandis que le « senior » se présenta comme Abdel. Pour Simona, ils respiraient tous les deux, même la nuit, après des longues journées de marche, une masculinité virile, Abdel avec sa mâchoire carrée, visage barbu, plus gros, Younes avec son corps plus musclé, visage imberbe, sauf pour quelques petits poils autour du menton, un côté plus brut.
    
    De temps en temps, elle changeait de posture, montrant son absence de culotte sous la nuisette, ce qui ne semblait pas laisser les guides indifférents. Elle parla de son ennui avec son mari, et le fait qu’il dormait.
    
    — Mais moi, j’ai envie d’un homme en ce moment… Un vrai homme, dit-elle.
    
    Elle les allumait. Abdel connaissait son jeu. Peut-être avait-il l’habitude de ces touristes européennes matures en manque, on ne sait pas. Mais il la cernait bien. Sous son sac de couchage, il commence à bander. En dialoguant avec lui, Simona devenait tactile avec ses mains, tactile dans un sens plus délibéré que les gestes qu’on attend typiquement des Italiens lors de la conversation. Et donc, comme on aurait pu prévoir, ce qui devrait arriver arriva. Elle toucha la bosse qui se formait sous le sac.
    
    Elle décida de prendre ...
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