1. Sexotisme


    Datte: 09/06/2022, Catégories: grp, couleurs, asie, caresses, Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe libercoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... appartient à mon mari. Docile, j’ouvre la bouche et je laisse entrer sa belle bite que je connais si bien, puis je m’en donne à cœur joie, exerçant toute ma science en matière de léchouille et de suçouille. Peu après, j’ai l’immense satisfaction de boire goulûment son sperme, ce qui donne aussitôt des idées aux autres hommes.
    
    Puis les choses s’emballent, montant de deux crans ou plus. Exponentiellement, dirait mon mari qui adore ramener sa science matheuse, même durant le sexe !
    
    De son côté, Danaé s’offre un sacré festival du feu au cul en se laissant tripatouiller sans limite et répit par tous ces mâles avides de se vider sur elle et en elle. Moi-même, j’ai parfois du mal à suivre le rythme, et pourtant, je ne suis pas mauvaise pour ce genre de jeu !
    
    Toujours empalée, je suis aspirée alors dans un tourbillon de luxure. Des bites caressent mon corps, mes hanches, mes seins, mon ventre et mon visage. Une à une, elles explorent ma bouche pour que je les accueille comme il se doit. Parfois, j’entends un râle, suivi d’un éclaboussement tiède sur mon corps, souvent sur mes seins, toujours dans ma bouche.
    
    Du coin de l’œil, je constate que Danaé n’est pas oubliée, tant s’en faut. Elle aussi est entourée par l’avidité et la concupiscence des hommes présents ce soir, alternant entre les deux poupées qui leur sont offertes.
    
    Je suis ballottée par ces mains, par ces verges. Devenu mou, l’homme qui était en moi se retire, il est vite remplacé par un autre, tandis que je me ...
    ... retrouve allongée sur le dos, totalement offerte et ouverte. À moitié consciente, je sens l’odeur forte de ces verges qui câlinent inlassablement mon corps, mon visage, qui s’attardent dans mes mains ou ma bouche, le temps qu’elles giclent. À peine ma chatte est libre qu’une autre queue prend le relais, s’enfonçant en moi, me farfouillant.
    
    Soudain, j’entends la voix de Danaé dire :
    
    — À mon tour !
    
    Aussitôt, je sens puis je vois sa tête qui vient s’encastrer entre mes cuisses, et elle commence à me faire une bonne léchouille à l’orée de ma chatte. Petite salope, va ! Mais je ne déteste pas ce genre d’hommage de la part d’une femme. Une bite en bouche, d’autres sur mon corps, je me laisse aller. C’est si bon, je me laisse faire avec ravissement. Quelques murmures bruissent :
    
    — Ah les gouines !
    — Oui, c’est beau à voir !
    — Waah ! Ça m’excite un max ! Je bande comme un âne !
    
    Ravie de la tournure des événements, je flotte dans un doux état de béatitude, sous une langue qui virevolte dans mon intimité ruisselante…
    
    Repue, j’ai bien joui sous la langue de Danaé. Un certain nombre d’hommes sont épuisés, asséchés, mais pas tous, certains résistent vaillamment. À quatre pattes, sa position préférée, affichant un sourire béat, Danaé se fait à nouveau entreprendre à la chaîne par les survivants. Elle déguste de la queue au kilomètre et elle adore ça. Je reconnais bien là une grande salope décomplexée !
    
    C’est mon mari qui relance la machine, en me faisant m’allonger ...
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