Sexotisme - Histoires de Sexe

Sexotisme

... tout aussi blanc et jupette plissée bleue très courte, sans oublier mes couettes et un serre-tête.

Je lui adresse un large sourire :

— On n’est pas ici pour faire un cent mètres, mais un marathon, ma petite Danaé !
— Pas faux… Tiens, je ne vois pas ton mari…
— Il se réserve pour la suite, je suppose…

Entourée de toutes parts, je commence à soupeser quelques verges bien tendues.

— Beaux engins ! Sont-ils à répétition ?

L’homme que je tiens actuellement en main me répond avec un large sourire :

— Du style mitraillette, ma jolie !
— Avec un gros chargeur, donc !

Un autre homme aux cheveux clairs s’inquiète :

— Tu es bien majeure, n’est-ce pas ?
— Je suis même la mère d’une fille qui sera majeure dans un an.
— Sans blague !

Clémentin intervient :

— Ce que dit Mella est parfaitement vrai. Il n’y paraît pas, mais elle pourrait être la mère des plus jeunes d’entre vous, si elle avait commencé très tôt, voire trop tôt.
— C’est… c’est hallucinant ! On croirait vraiment une gamine !

L’homme blond se tourne vers Danaé :

— C’est aussi le cas pour toi ?

Ma voisine de jeu sourit :

— Je suis plus jeune de cinq ans…
— Chapeau ! Tu fais un peu plus âgée que ta copine, mais on jurerait que t’es encore mineure ou limite majeure ! C’est hallucinant !

C’est ainsi que commence la première partie de la soirée, avec diverses agaceries, flatteries, branlettes, sucettes et autres divertissements qui deviennent de plus en plus débauchés et ...

... licencieux. Nous glissons lentement, mais assurément dans le stupre et la débauche !

Ça va faire déjà une heure que nous sommes entreprises par tous ces hommes. Danaé et moi profitons joyeusement des bonnes et dures dispositions de tous ces inconnus avides de nos corps. J’adore être la proie de tous ces désirs masculins !

Ça me fait songer que je n’ai toujours pas vu mon mari, lui qui adore pourtant se mélanger aux autres hommes et profiter éhontément de mon petit corps !

Sur le côté, Danaé est en train de se faire prendre en levrette par un homme plutôt fluet qui la besogne comme si sa vie en dépendait, ce qui plaît beaucoup à ma copine de jeu. De mon côté, je suis carrément assise sur une belle colonne de chair bien rivée en moi, tandis que diverses mains et bouches continuent leurs diverses explorations sur mon corps quasiment dénudé. Et j’adore ça !

Un peu essoufflée, Danaé me lance :

— Alors, Mella ! Ton… ton marathon te convient ?
— Parfaitement, mais nous ne sommes pas encore arrivées au bout, ma chérie !

Bien agrippé à ses hanches, donnant de grands coups de reins, le fluet est toujours en train de ramoner ma Danaé qui apprécie ses hommages un peu rudes. Pour ma part, j’ondule voluptueusement sur le gode de chair, ma peau toujours caressée et adorée.

Soudain, j’entends une voix connue :

— Je me permets, petite dévergondée…

Je sens alors une verge plutôt bien fournie se poser sur mes lèvres. Je lève les yeux pour découvrir que ce pieu de chair ...