Un si bel été, et ses suites (8) - Histoires de Sexe

Un si bel été, et ses suites (8)

... ma poitrine, nous nous embrassons passionnément. Sa peau est douce, je la caresse, mes mains parcourent son dos, ses reins, ses fesses, j’en glisse enfin une entre ses cuisses qu’elle écarte pour me faciliter l’accès à sa chatte. Elle n’est pas en reste et me caresse délicatement les testicules. Ma bite est en pleine érection contre son ventre. Elle s’en saisit et me masturbe très lentement ; je sens que si elle poursuit ainsi je vais venir trop vite. Je m’écarte un peu d’elle et m’agenouille à son côté. Elle me comprend, écarte les jambes et se cambre pour m’offrir son sexe encore clos. J’en écarte délicatement les bords pour faire apparaître son petit bouton rose. Je sais qu’il est très sensible. J’y pose la langue et Julie réagit aussitôt. Elle trésaille à chacun de mes coups de langue, commence son étrange ronronnement de chatte. Elle cambre les reins pour mettre plus étroitement sa vulve au contact de ma bouche qui s’y colle tandis que ma langue l’explore au plus profond. Ses frissons s’amplifient, son souffle s’accélère et brusquement elle est secouée de soubresauts, lance et replie les jambes et pousse de petits cris tandis que je sens un liquide tiède inonder ma bouche. Je me place rapidement de façon à pouvoir la pénétrer, ma bite s’insinue entre ses lèvres et glisse doucement au plus profond de son vagin. Quelques mouvements suffisent à procurer à Julie un second orgasme tandis que je lâche enfin mon sperme.

Nous restons immobiles, essoufflés, l’un contre ...

... l’autre. Elle a posé une main sur mon sexe désormais au repos contre mon ventre, la mienne est sur sa chatte trempée de sa mouille et de mon sperme mêlés.

« Eh bien, garçon, c’était parfait ! »

Venant d’elle, et compte tenu de son expérience, ce compliment me remplit de fierté.

Nous avons dormi et je suis tiré du sommeil par une voix douce et l’odeur du café. « Room service, monsieur. » Julie s’assoit sur le lit et me tend une tasse. Elle est toujours nue et je ne peux m’empêcher de l’admirer encore une fois. A-t-elle remarqué, sous le drap ; la bosse que fait mon sexe tendu. Elle glisse la main dessous et constate : : « Belle érection matinale ; ce serait dommage de ne pas en profiter. » Elle repousse le drap et entreprend une fellation. Dans la position où elle se trouve, j’ai sa croupe dressée devant moi et je ne peux faire moins que caresser ces jolies fesses. J’en suis lentement la raie médiane et atteins sa rosette brune qui se dilate à la première pression de mon doigt qui y pénètre sans difficulté. Julie suspend sa fellation et me demande : « Tu as envie de ça ? Tu peux le faire, garçon. »

Je ne me fais pas répéter l’invitation. Comme, allongée près de moi, elle m’a tourné le dos, je présente mon gland contre l’orifice convoité. Je progresse lentement, mais ma verge entre sans aucune difficulté, moins à l’étroit même que de l’autre côté. Dès que j’entreprends mon va-et-vient, ma tante se met à ronronner, signe de plaisir que je commence à reconnaitre. Son anus se ...