1. Un si bel été, et ses suites (8)


    Datte: 07/06/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Janus04, Source: Hds

    ... fait passer dans sa chambre, me dit de me déshabiller et de m’allonger à plat ventre sur son lit. Comme, pris d’un stupide accès de pudeur, j’allais garder mon slip, elle rit : « Allez, garçon, à poil ! »
    
    Elle-même retire son jeans et m’apparait en petit culotte noire très mini. Elle se verse un liquide dans les mains, et me chevauchant, ses cuisses contre les miennes, entreprend de me masser. Elle me pétrit d’abord assez énergiquement les reins, puis remonte lentement le long du dos en un effleurement plus doux. Elle fait à plusieurs reprise ce va et viens des reins aux épaules, alternant massage et léger pianotement des doigts. La douleur a vite fait place au plaisir des caresses et quand ses mains frôlent mes fesses, que l’une d’elles se glisse entre mes cuisses jusqu’à mes testicules, mon érection est complète depuis longtemps et mon sexe est bien dressé lorsque Julie me fait me retourner. Tout en me prenant un téton entre les doigts et après m’avoir rappelé qu’elle ne voulait pas de sperme dans la bouche, elle se penche et, du bout de la langue, titille mon gland. Ma verge me semble aussitôt douée d’une vie propre ; elle s’agite, frémit, raidit encore. Les lèvres de ma tante se referment sur mon gland et elle commence un lent mouvement d’absorption qu’elle accompagne d’une branlette à trois doigts. Je n’en peux plus, je sens venir le moment suprême, je crie presque : « Aaaah, ça vient, Tatili ! » Elle se redresse, dirige ma queue vers mon ventre et continue son ...
    ... mouvement de masturbation jusqu’au terme de l’éjaculation.
    
    « Tu es satisfait de mon massage, garçon ? ça t’a fait du bien ? Alors on va pouvoir passer à table en attendant la suite.
    
    Si tu n’as pas froid, ce serait amusant de dîner nus, tu ne crois pas ? »
    
    Joignant le geste à la parole, elle ôte son T-shirt, libère ses jolis petits seins tout ronds de leur soutien-gorge et retire sa petite culotte.
    
    C’est ainsi que moi qui était encore puceau trois mois auparavant, je me retrouve ce soir à table, tout nu face à ma tante dans la même tenue.
    
    Nous parlons de choses et d’autres, nous évoquons des souvenirs :
    
    « Tu étais un gamin adorable, et Jacqueline était fière de son bébé. Elle te couvait.
    
    -J’aimais bien te voir, Tatili. Tu me faisais sauter sur tes genoux.
    
    -Tu te souviens de ça !
    
    -Oui. Et quand tu me faisais faire ma toilette…
    
    -Ah oui ! Jusqu’au jour où j’ai vu ton petit zizi tout raide. Quand j’ai raconté ça à Jackie, elle en a ri, mais nous avons compris qu’il valait mieux que je ne te donne plus le bain. Tu t’es bien développé, depuis, ajoute-t-elle en riant, je ne l’aurais pas reconnu. »
    
    Elle a tendu la jambe sous la table et posé doucement son pied sur mon sexe.
    
    « Tu ne crois pas qu’il serait temps de retourner au lit, Nicolas » ? »
    
    Je suis tout-à-fait d’accord. Bakounine se lève lui aussi, nous suit dans la chambre et se couche sur son tapis, au pied du lit.
    
    Nous sommes étroitement enlacés, corps contre corps, je sens ses seins contre ...