1. Soumise à ma belle-mère (2)


    Datte: 07/06/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Chantal77martin, Source: Xstory

    ... qu’elle fouille sa valise. Elle en ressort deux objets métalliques que je reconnais : un gros rosebud et une cage de chasteté.
    
    Elle profite de mon sexe mou et l’encage avec dextérité. Une chaînette courte pend, à laquelle est accroché le rosebud de quatre centimètres de diamètre. Elle le tire en arrière et l’enfonce à sec. Je crie, mélange de peur, d’appréhension et de douleur mais il rentre facilement, comme si mon anus était naturellement lubrifié. La tension est forte sur la chaîne, et cela tire mon sexe en arrière, le faisant presque disparaître entre mes cuisses. Elle me relève, c’est très douloureux, et je découvre mon pubis presque plat, car mon sexe et mes testicules passent entre mes cuisses.
    
    Puis elle prend une culotte de nylon et me la tend. Si, de loin, cela peut paraître sobre, on voit clairement que c’est une culotte de femme. Je l’enfile et je vois mon pubis plat. Je suis heureux du résultat et en même temps je n’imagine pas aller au spa de l’Hôtel ainsi. C’est une culotte assez gainante avec un léger liseré de dentelle, ainsi que sur le plastron. La cage de chasteté est invisible. Elle me tend un peignoir de l’hôtel et se dirige vers la porte. Je reste sans bouger.
    
    — Allez, viens petite salope, sinon je vais jeter la clé de ta cage de chasteté à la poubelle.
    
    J’obéis, anéanti et nous sortons, en prenant soin de marcher deux pas derrière elle. Nous arrivons dans le spa, qui semble vide, ce qui me laisse échapper un soupir de soulagement. Hélas, je ...
    ... me crispe en découvrant la présence des deux femmes croisées dans le couloir plus tôt.
    
    L’atmosphère du spa est chaude et humide ; je transpire dans le peignoir mais je n’ose le retirer de peur de le faire découvrir que je porte une culotte de femme. Les deux femmes, elles, sont juste en en culotte de maillot de bain, allongées sur des transats. Leurs poitrines sont nues, généreuses comme je l’avais deviné. Elles commencent à parler avec Danielle et papotent comme si je n’étais pas là. Moi restant debout et immobile, elles l’interrogent sur moi et ma condition. Danielle leur répond naturellement :
    
    — C’est mon gendre, et il aspire à devenir une pétasse lubrique, il prend le chemin de la soumission totale à la gent féminine et prend son pied à être traité comme une salope et une catin.
    
    Les deux femmes rient de cela, et demandent à Danielle de leur prouver cela. Aussitôt, ma belle-mère me demande d’enlever mon peignoir et me mettre à genoux.
    
    — Lèche mes pieds et ceux de mes nouvelles amies.
    
    Sans hésiter, je commence et je baise avec plaisir les orteils de ses trois femmes, plus que mature de 50 à 60 ans.
    
    — Il sait faire plus ? demande l’une des femmes. Je n’ai pas eu le temps de prendre une douche mais j’aimerais qu’on me fasse la toilette.
    
    Aussitôt elle enlève son maillot et expose une toison rousse épaisse et très fournies. L’odeur est forte, celle d’une femme qui a beaucoup mouillé la journée et peut-être joui plusieurs fois, et qui n’a pas pris le temps de ...