1. Soumise à ma belle-mère (2)


    Datte: 07/06/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Chantal77martin, Source: Xstory

    ... et je peux enfin entrer. Je me précipite, toujours à genoux, à l’intérieur, aux pieds de Danielle, assise sur le lit. Elle rit de ma situation, et j’en pleure, comme une écolière.
    
    — Pourquoi faites-vous cela ?
    
    — Parce que tu as le vice en toi et que tu aimes cela.
    
    — Mais non...
    
    Elle me regarde fixement
    
    — Je vais te poser une question double, juste une seule fois. Tu ne me répondras pas par la parole. Si tu veux répondre oui, alors tu viendras lécher la pointe de mes escarpins. Si tu veux répondre non, tu te lèves, et tu repars en voiture. Je me débrouillerai seule. La question est : es-tu une catin travestie qui ne rêve que d’être une femme pleine de vices ? Et as-tu déjà trompé ma fille ?
    
    Cette question est horrible car je suis obligé de répondre oui ou non aux deux questions. Mentir et tenter de sauver les apparences déjà illusoires (mes bas noirs en sont témoins) ou dire la vérité, avouer, me libérer et m’exposer aux conséquences terribles de cet aveu. Danielle reste muette, et lit mon désarroi, ma peur sur mon visage. Le temps est suspendu.
    
    Vaincue, je baisse la tête et commence à lécher le vernis noir de ses escarpins. Je pleure de bonheur. Mon sexe est tendu. Je caresse ses bas et ses chevilles en même temps. Danielle m’a apprivoisée, m’a vaincue, m’a soumise. Je viens de perdre le contrôle de moi-même : je lui appartiens.
    
    Ma langue s’active sur le vernis de ses souliers pendant de longues minutes. Danielle ne reste pas passive et n’hésite pas à ...
    ... enfoncer le bout de ces escarpins dans ma bouche, et je prodigue une quasi-fellation à ses pieds. Heureusement que ma bouche salive beaucoup car cela commence à être éprouvant et douloureux. J’essaie de m’arrêter mais elle me gifle. Je recommence. Au bout de 10 minutes, elle se retire et je reste à genoux.
    
    — Nous allons aller nous détendre à la piscine.
    
    — Mais Danielle ! Je n’ai pas de maillot de bain...
    
    — Ce n’est qu’un détail, nous allons régler cela. Déshabille-toi.
    
    Elle se rend dans la salle de bain, pendant que je me mets nu. Ne sachant pas quelle posture adopter, assez naturellement, je me remets à genoux et attends. Mon sexe est dur et je le caresse avec honte. Danielle ressort vêtue d’un maillot de bain deux pièces noir, avec le peignoir de l’hôtel ouvert. Je la vois et je bande d’autant plus. Ses formes généreuses, sa croupe et ses fesses tendent le bas et sa poitrine remplit et déborde du haut. Ses tétons sont durs, cela se voit, et ses lèvres se devinent facilement à travers le bas. J’imagine qu’elle doit être excitée, et je n’ose imaginer que c’est moi qui en suis la cause.
    
    — Mais tu te branles. Ce n’est pas possible d’être aussi perverse.
    
    L’emploi du féminin m’interpelle. Elle me prend par les cheveux et me traîne jusque dans la douche. Elle ouvre la douche glacée et fait couler l’eau sur mon sexe. Je me débats, je crie « pitié » et déjà mon sexe redevient tout petit. Elle me sort et sans m’essuyer, me laisse grelotter de froid, à genoux pendant ...