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La bourgeoise et le marabout (68)
Datte: 05/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory
... mais je crois bien que ce soir, c’est la plus chaude ! Grâce à toi ! Philippe poursuit : — Oui Roger, tu as raison ! Et les deux petites salopes de Noël n’ont pas tenu la distance comme Hélène. Le patron ouvre sa braguette et en sort une grosse queue bien large. Il me fait pencher en avant sur le comptoir et me saisit par la taille. Il me dit : — Bien trempée comme tu es, ça va bien se passer ! Effectivement, malgré la grosseur de sa bite, il investit sans difficulté les lieux et se met à me besogner avec force. Ses bourses cognent contre mes fesses et je tends la croupe en arrière pour qu’il me remplisse bien. Lorsqu’enfin il se vide en moi, je jouis de nouveau en recevant ses longs jets de foutre. Il m’oblige à me mettre à genoux devant lui pour bien lui nettoyer la queue et recevoir ses dernières gouttes de jus. Il me dit : — J’espère vite vous revoir avec Philippe. La nuit a été courte et le voyage du lendemain entre Dijon et Paris passe très vite. Une fois arrivés sur l’aire de repos de Ferrières à l’est de Paris, Philippe met un SMS à François qui se gare près ...
... du camion moins de cinq minutes plus tard. Je descends de la cabine avec mes affaires et mon mari les place dans le coffre de notre voiture. Comme je m’en doutais, François demande à Philippe : — Voulez-vous en profiter une dernière fois avant que nous repartions ? Philippe lui répond : — Une salope comme votre femme, on ne s’en lasse jamais. Il vient derrière moi, soulève ma jupe, écarte le tissu de mon string et me prend d’un coup sec. Tandis qu’il me besogne, François se place devant moi, sort sa queue et me la glisse en bouche. — Tiens petite salope, suce puisque tu aimes ça ! me dit-il pendant que je le pompe. Les deux hommes jouissent en même temps et me voici de nouveau la bouche et la chatte pleines de foutre. Alors que nos repartons en voiture vers Paris pour rentrer chez nous, François me dit : — Je vais te mettre au repos pendant quelque temps. Mais la reprise n’en sera que meilleure ! Je lui réponds : — Chéri, je suis ta chose et tu peux faire de moi ce que tu veux. Mais au fond de moi, je sais que je vais être rapidement en manque......