1. La bourgeoise et le marabout (68)


    Datte: 05/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... déplaire.
    
    Quand j’arrive à la table de Philippe, ses deux copains Richard et Thierry m’interpellent aussitôt :
    
    — Vous êtes très sexy dans votre tenue de serveuse !
    
    — Je dirais même plus, vous êtes une charmante soubrette !
    
    — On peut toucher ?
    
    Sans attendre ma réponse, leurs mains se font très baladeuses et ils cherchent à bien me faire écarter les jambes. Histoire de les exciter, je cherche à leur interdire l’accès à mon entrejambes, mais ils sont costauds et je me retrouve vite bien accessible. Me voici maintenant debout entre les deux hommes qui me dévorent chacun un sein tout en me caressant les fesses d’une main et la chatte d’une autre. Je pose le plateau sur la table avant de défaire mon petit tablier blanc. Les deux hommes se lèvent et m’entraînent vers un banc libre. Thierry s’assoit et me place debout devant lui. Sa bouche s’active sur mes seins tandis qu’il me pelote outrageusement les fesses de ses mains calleuses. Richard est à genoux derrière moi et le voilà qui fait descendre mon string le long de mes jambes puis me le retire. Son visage collé contre mes fesses, il me fouille le sillon de sa langue râpeuse.
    
    Moins de cinq minutes plus tard, je suis prise en sandwich par les deux routiers devant Philippe qui nous filme avec son téléphone portable. Il me dit :
    
    — Ton mari peut ainsi suivre tes exploits en direct, il apprécie. Ah, je crois qu’il veut parler à mes deux copains !
    
    Il met le haut-parleur et je reconnais aussitôt la voix de ...
    ... François :
    
    — Allez-y, messieurs, profitez bien de ma femme, vous avez mon accord ! Et n’oubliez pas qu’elle adore le foutre.
    
    Les deux hommes lui répondent :
    
    — Merci de nous la prêter, vous en avez fait une sacrée salope !
    
    — Soyez rassurés, nous avons les couilles pleines et elle va être bien arrosée.
    
    Effectivement, lorsqu’ils se répandent en moi, je dégouline de sperme, mais cela semble donner des idées aux autres routiers.
    
    Pendant près de deux heures, je vais être prise par tous ceux qui le souhaitent et ils ne vont pas se gêner. Chaque partenaire souhaite essayer une nouvelle position et j’ai l’impression de n’être qu’une poupée gonflable entre les grosses mains de ces hommes. Je suce des queues, des queues me baisent et d’autres m’enculent. On me soulève comme un fétu de paille et on m’embroche sans que mes pieds touchent terre.
    
    Par moments, j’ai l’impression d’être transpercée par une longue queue lorsque, bien tenue à quatre mains, une bite me baise tandis que j’en suce une seconde. On se masturbe sur moi, on me tripote les seins, on éjacule dans ma bouche, on me pelote les fesses, on m’arrose de foutre, on me sodomise encore, on se branle contre ma poitrine, on me baise de nouveau, on profite de tous mes orifices.
    
    Petit à petit, vidés de toute énergie, les routiers quittent la salle les uns après les autres. Me voici maintenant seule avec Philippe et Roger le patron. Ce dernier m’attire à lui et me dit :
    
    — Tu sais, il s’en est passé des soirées ici, ...
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