1. Découverte d'un étudiant (5)


    Datte: 05/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Coquine-Aur, Source: Xstory

    ... baratter sa chatte qui crachait son miel sur le canapé.
    
    Louise s’arrêta un instant, tendant un tube de lubrifiant à Thomas qui comprit immédiatement le message. Il enduit sa queue et la rondelle de ma chérie qui l’accueillit dans son petit trou dans un feulement de plaisir. Thomas allait lentement dans son cul, et cette vision décupla mon plaisir. Je me mis à baiser encore plus fort Marine qui jouissait de plus en plus intensément. J’osai une phalange sans son œillet plissé, et elle n’en fut que plus excitée. Mon pouce rentra entièrement et Marine jouit encore une fois avant de s’effondrer, épuisée par autant de plaisir. Haletante, transpirante, elle gisait sur le canapé, chantonnant son plaisir alors que je lui picorais la peau de doux baisers.
    
    Je tournai la tête vers ma Louise qui jouissait sous les coups de boutoir de Thomas qui lui défonçait son petit cul. Je fis un coup d’œil à Thomas qui comprit et se retira de ma bien-aimée. Je m’assis sur le canapé pour que ma Louise vienne s’asseoir sur moi. Un peu déçue, elle s’exécuta et commença à danser sur moi alors que nous échangions mots coquins et mots d’amour. Je la fixais dans ...
    ... les yeux quand Thomas vint derrière elle et posa sa queue contre son œillet. Son regard changea, ses yeux se révulsèrent presque lorsque Thomas entra jusqu’à la garde. Louise expérimentait pour la première fois d’être remplie à ce point.
    
    Je sentis la queue de Thomas entrer et nous commençâmes à nous activer dans ma belle qui semblait au comble du bonheur. En rythme, par des coups fermes et rythmés, nous remplissions ses deux orifices sous ses cris de plaisir. Thomas lui pilonnait le cul, tandis que je bécotais ma chérie en faisant des va-et-vient dans son minou. Ma Louise bégayait des mots crus, des onomatopées, des borborygmes tellement elle partait loin. Je sentis la main de Marine venir nous caresser les bourses quand, curieuse, elle s’installa pour admirer le résultat. Il ne me fallut pas longtemps pour atteindre le point de non-retour, Thomas aussi visiblement et nous avons joui en remplissant ma chérie de notre jus de désir.
    
    Épuisés, nous étions tous nus sur le canapé, luisant de sueur, le sourire de plaisir aux lèvres, béats, sirotant une boisson quelconque. Notre année de colocation venait de prendre un nouveau tournant. 
«12345»