1. Découverte d'un étudiant (5)


    Datte: 05/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Coquine-Aur, Source: Xstory

    ... avec dextérité, il dut demander grâce. En de longs jets, il recouvrit le visage des deux déesses de son jus en un rauque cri d’abandon. Essoufflé, il gisait sur le canapé, le manche tumescent, vibrant au rythme de son plaisir.
    
    Les deux femmes, satisfaites, s’embrassaient, se léchaient le visage, se congratulaient sensuellement d’être aussi coquines. J’étais excité comme jamais, je redécouvrais ma belle Louise sous un autre jour, plus coquin encore, plus sensuel, je ne ressentais plus aucune pointe de jalousie, plus de manque de confiance en moi, seul comptait son plaisir. Un verrou était en train de changer, et du petit loser du lycée, je me transformais en homme capable de plaire.
    
    Sous nos yeux masculins, les deux femmes se mirent à se câliner entre elles, sensuellement, par des milliers de baisers tendres et passionnés. Les mains se baladaient, cherchaient à flatter telle ou telle courbe, se crispaient sur une fesse, sur un sein, sur un bout de peau sensible au fur et à mesure que l’excitation les gagnait.
    
    Thomas regagnait petit à petit ses esprits et les deux se léchaient les seins, je voyais Marine en pleine découverte de caresses plus fermes, à se tordre les tétons, à se les faire mordre carrément. Elle semblait fondre lorsqu’on usait de vigueur avec elle. Je la vis se pâmer lorsque Louise lui attrapa les cheveux pour les tirer en arrière et lui mordre le cou. Elle émit un long feulement qui en disait long sur ses envies de luxure ce soir. Sans préavis, ...
    ... Louise lui enfonça deux doigts dans sa minette dégoulinante avec pour résultat un gémissement proche de l’orgasme. Ma cher et tendre la branla sans ménagement, dans un bruit humide qui ne laissait aucun doute quant au plaisir que Marine prenait. Elle se liquéfiait de plaisir, le crescendo de ses gémissements annonçant l’orgasme. Lorsque ma Louise lui mordit le cou encore une fois, Marine partit loin, dans un océan de mouille.
    
    Louise n’arrêta pas, loin de là, et jouait encore avec sa chatte, avec trois doigts bien agiles fouillant son intimité. Marine se tordait, convulsait, bégayait, haletait, à la recherche d’une berge où accoster, mais les vagues du plaisir la rejetaient sans cesse au loin.
    
    Louise cessa, et présenta ses doigts trempés de miel à Marine qui les lécha goulûment, sans en laisser une goutte. Je voyais ma chérie prendre plaisir à dominer sa partenaire et mon manche dur comme du marbre me rappelait comme j’aimais cette vision. Marine n’eut pas le temps de souffler que ma belle s’assit sur son visage pour récolter son dû en baisers. Marine ne se fit pas prier et commença à fouiller l’abricot glabre de ma douce. Louise lui agrippait les cheveux, la guidant vers son bouton déjà gonflé. La pièce embaumait le nectar des deux femmes, quant à nous, les hommes, étions en pleine forme, prêts à exaucer les souhaits de luxure de nos partenaires.
    
    Marine s’appliquait à lécher ma belle qui fermait les yeux et gémissait sous une langue volontaire. Elle coucha Louise sur le ...