1. L'Algérie (7)


    Datte: 02/06/2022, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    ... Inimaginable, inconcevable dans mon pays... « le Pays des libertés individuelles » dans les années 75... Lorsque Rachid s’est déversé dans moi avec sa puissance, mais aussi avec sa tendresse, j’envisageais avec angoisse mon retour en France.
    
    Pour me faire honneur, ils avaient prévu de me faire découvrir la vie de nomades dans le désert, sous une tente traditionnelle, vers une oasis qui était le berceau de leur origine, qui même si elle n’avait plus sa splendeur d’antan, modernité oblige, conservait toutefois une majeure partie de son originalité.
    
    L’expédition s’est mise en route au beau matin, exclusivement masculine évidemment, avec comme accompagnateurs, Hassan, leur cousin, et ses deux fils qui avaient à peu près notre âge, à Rachid et moi. Les chameaux n’étant plus d’usage, c’est un 4/4 qui nous a conduits jusqu’à notre destination finale. J’étais autant fasciné par cette traversée de désert que lors de notre vol, yeux grands ouverts sur le paysage, mais aussi sur Mon Rachid, et le cousin Djibril, entre lesquels j’étais assis. Tous en djellaba ou gandoura, je ne sais pas trop, c’est ce qui avait été décidé avant notre départ, nus dessous, comme à la manière des vrais Touaregs, ses vêtements amples laissaient passer très facilement ses odeurs si viriles que j’aimais tant, qui emplissait l’habitacle du véhicule.
    
    Si la bosse entre les jambes de Rachid était plus que conséquente, celle de Djibril devenait énorme, surtout quand il a vu qu’il ne se gênait pas pour ...
    ... m’écarter les cuisses sous le fin tissu et farfouiller pour atteindre l’antre de ses plaisirs.
    
    Farid avait constaté le manège, me voyant m’abandonner de plus en plus aux caresses des garçons. Avec un clin d’œil et un sourire, il nous a juste dit :
    
    — Laissez-vous aller les jeunes... !!! Le trajet est long et ça va vous faire du bien.
    
    — On peut niquer Tonton ? On a trop envie, Rachid et moi.
    
    — Amusez-vous les jeunes... On va s’occuper de vous à l’arrivée.
    
    Il ne m’en fallait pas davantage pour assouvir ma convoitise de ces deux jeunes hommes, soulevant sans vergogne nos vêtements pour me laisser apparaître ces mâles dans toute leur splendeur. Putain... Des vrais Touaregs... Djibril l’avait encore plus grosse que Rachid, sans atteindre celle de Farid, mais comparable au pieu de Karim, un peu moins long, mais plus large. Ces fragrances arabes m’avaient envoûté pendant tout le trajet et ma bouche a enserré Djibril pendant que Rachid m’enculait de toute sa vigueur que j’appréciais tant. Tout à l’arrière du véhicule, seuls dans ce désert, j’étais possédé par ces hommes en chaleur, sous le regard des autres dont la convoitise devenait de plus en plus exacerbée.
    
    Hassan s’est soudain arrêté, dans un endroit assez plat et a sorti une couverture assez épaisse, venant de je ne sais où. Rachid m’y a allongé, cuisses à l’air, exhibant à tous, ce que je devrais appeler « ma chatte » maintenant, à leur concupiscence exacerbée.
    
    Je n’avais plus 7 gandouras devant moi, mes 7 ...