La naufragée de la route (5) - Histoires de Sexe

La naufragée de la route (5)

... bien, ma bite dans ta chatte, et le Rosebud dans ton cul ?

— Oh oui... Oh mon Dieu... Je suis en train de devenir une salope...

— Tu es MA salope, Elyne... Tiens !

L’abandon de ma soumise agit sur moi comme un aiguillon. Sans accorder attention à ses plaintes - mais s’agit-il de plaintes ou de cris de plaisir - je la baise, je la prends sans le moindre égard, chacun de ses cris résonnant dans mes oreilles comme un encouragement.

Je suis infatigable, je la pilonne de longues, longues minutes. Et Elyne jouit, en hurlant... Deux fois... Trois fois... Elle est au bord de l’évanouissement, quand je m’abandonne à mon propre plaisir. Je me retire de son minou, et je plante ma queue dans sa bouche. C’est à peine si elle a encore un peu de force pour me sucer, mais j’ouvre les vannes qui retenaient mon foutre. Je gicle, dans sa bouche, mais aussi dans ses cheveux, sur son visage, entre ses seins. Elle est maculée de sperme...

ELYNE

Je ne peux plus bouger. Toute énergie a quitté subitement mon corps après avoir subi cet assaut !

Il m’a enfoncé un truc en acier dans les fesses... comment a-t-il appelé ça ? Ha oui ! Un rosebud !

Au début, je sentais la froideur de l’acier venir pénétrer petit à petit dans mon fourreau bien chaud ! Puis... l’intrus ne pouvait plus entrer ! Trop gros ! Il ne m’a pas vu sur le moment, mais j’avais un petit sourire sur mes lèvres... car je pensais que son plan allait échouer ! Mais quelle idiote ! Il s’est mis à faire tourner ...

... l’acier autour de mon œillet... je sentais une pression légère et un peu douloureuse. Puis, quand je m’y attendais le moins, mon petit trou s’est mis à AVALER d’un coup l’intrus métallique ! Je n’en revenais pas moi-même ! Sa présence au fond de moi me gêne un peu mais c’est supportable ! Mais ce n’est pas tout ! Je pensais qu’il allait s’arrêter là ! Mais non ! Il s’est mis à me pilonner avec ardeur ! Je sentais sa bite taper sur les fines parois de ma chatte. Un peu comme si le bijou inséré dans mon cul venait se coller à sa queue !

Woawwww ! Je n’ai jamais ressenti ça ! Je sentais ma chatte dégouliner... mon palpitant s’accélérer... et... ils sont arrivés très vite ! Oui... des orgasmes puissants ! Et de nouveau, le peu d’énergie que j’avais pu récupérer... est partie en fumée !

GERMAIN

Pendant un moment, je contemple ma soumise, souillée. Elle est toujours attachée sur le banc, écartelée, son entrecuisse ouvert, mais elle est maintenant immobile, à peine consciente.

Il faut dire qu’elle a joui plus qu’aucune autre soumise que j’ai possédée jusqu’à présent. Peut-être l’effet de la drogue que je lui ai fait boire ? Je crois plutôt que cette femme est dotée d’un énorme appétit sexuel, dont elle n’avait pas conscience jusqu’à aujourd’hui.

Je l’essuie et je la détache, mais elle ne tient plus debout, et il faut que je la porte littéralement jusqu’à sa chambre, une pièce à la petite fenêtre munie de solides barreaux. Un WC et un lavabo se trouvent dans un petit réduit ...