La naufragée de la route (5) - Histoires de Sexe

La naufragée de la route (5)

... des cris de frayeur. Je ne la prépare pas davantage, et je guide mon gland pour forcer l’entrée de son intimité. Il faut que je pousse fort, mais elle s’ouvre, et je m’enfonce une nouvelle fois en elle.

Heureusement, ma soumise mouille comme une fontaine, malgré (ou à cause ?) de sa peur. Je la pénètre à fond, jusqu’à ce que mes couilles viennent battre contre ses fesses, et je me mets à la pilonner, sans la moindre douceur.

Progressivement, les cris d’Elyne se transforment en gémissements, qui trahissent le plaisir qu’elle prend malgré elle. Je la baise longuement, ralentissant ou accélérant le rythme, m’arrêtant presque lorsque je devine qu’elle est sur le point de jouir. Puis, au bout d’un long moment, elle est terrassée par un premier orgasme.

Mais je ne m’arrête pas pour autant. Je continue d’aller et venir dans son fourreau serré, d’où s’échappent de petites giclées de cyprine, sans faiblir. Elle jouit encore, et cette fois, elle hurle de plaisir.

— C’est bon, hein, petite salope ?

— Oui, j’avoue Maître.

— Tu n’avais jamais joui comme ça ?

— Non... Mais... Ooooh !

— Quoi ?

— Je vais encore venir !! Oh ouiiiiiiiii !

Elyne se raidit, la sueur ruisselle sur son corps, et un nouveau spasme la secoue, et la laisse épuisée. Mais je n’ai pas encore éjaculé, et elle semble ne pas comprendre, lorsque je me retire de sa chatte, et que j’enfonce mon doigt dans son petit trou...

ELYNE

Oh... Je n’ai jamais joui autant de fois avec des orgasmes ...

... aussi puissants ! Je suis comme vidée de toute énergie...

Je souffle un peu, je ruisselle de sueur, mais mon maître ne l’entend pas comme ça !

Quoi ? Mais que fait-il ? Personne n’a jamais touché mon petit trou ! J’ai peur mais en réalité j’en meurs d’envie... L’envie de découvrir les plaisirs de la sodomie...

— Maître ! Arrêtez s’il vous plaît ! Que faites-vous !? Nooooooon !!! Noooooon !!! Arrêtez !!!! (j’essaie d’être très convainquante dans mes hurlements de détresse)

J’essaie de bouger mais je reste immobile. Mes liens sont fixés solidement à cette barre métallique.

GERMAIN

Les réactions d’Elyne et son petit trou si serré me font comprendre qu’elle est vierge de ce côté-là. C’est la première fois depuis longtemps que je me trouve face à une femme qui n’a jamais connu la sodomie !

Cela ne fait qu’augmenter mon désir pour cette femme. Mais je ne veux rien gâcher. Une première expérience trop pénible ne ferait que compliquer la suite du programme que j’ai déjà prévu pour elle.

Alors, je commence doucement.

Je fais coulisser lentement mon majeur dans son petit œillet tout plissé. La surprise passée, je sens qu’elle se détend peu à peu, et sa mouille qui coule jusqu’entre ses fesses lubrifie naturellement mon doigt. Elle ferme les yeux, trahissant une certaine excitation... Un bon point pour elle...

Lorsqu’elle ne parvient plus à retenir quelques gémissements de plaisir, étouffés, je fais glisser mon index contre mon majeur, et du bout des doigts, ...