Confinement
Datte: 01/06/2022,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
ffh,
fffh,
fbi,
jeunes,
copains,
grosseins,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
délire,
aventure,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... s’est lâché sur le poids. En passant, je repère une scierie avec des tas de planches que personne ne vient chercher en ce moment. Un soir, je ferais bien une expédition « planche », parce que c’est un produit bien utile qui nous manque. Nous faisons plusieurs arrêts, les guiboles en compote et les poumons en feu. C’est à chaque fois l’occasion de se faire des bisous et quelques caresses, ce qui remonte le moral. Enfin la relève. Je file ma charge à Fred qui n’en revient pas, vacillant presque sous le bât. Flo refile sa claie à Françoise qui râle déjà, alors elle garde les deux cubis de pinard qu’elle portait à la main. Ils partent, on reste pour souffler un peu, probable que sans sacs on les rattrapera bientôt. Je m’allume un clope, ça fait trois mois que je n’ai pas fumé. Un délire de l’instant, j’ai acheté un paquet pour retrouver ce plaisir, ce léger vertige de la première cigarette de la journée. C’est même pas bon. Je suis là, debout face à la vallée, j’admire le paysage en suçant mon mégot. À peine les copains ont-ils quitté notre champ de vision, donc nous le leur, que ma petite Flo se met à poil pour venir m’émoustiller.
— Moi aussi j’ai envie de fumer. Prête-moi ton gros cigare…
Elle déboucle mon jean et se sert. Qu’elle est jolie et joliment faite ! Nos fringues nous servent de tapis de sol et je lui déguste les seins et la grotte d’amour. Quand ensuite je la pénètre et que je l’embrasse, elle rouspète :
— Il ne faut plus fumer, c’est dégueulasse. J’ai ...
... l’impression de rouler une pelle à un cendrier. Tiens, cherche dans la poche de ma parka, j’ai des petits bonbons à la menthe…
Haleine rectifiée, c’est ensuite à son tour de perdre la sienne. J’avais tellement envie d’elle que nos ébats ne durent pas une éternité, une demi-heure environ. On souffle un peu, on se rhabille et on monte. Première fois que nous montons sans charge ou presque, juste un cubi chacun. Ça paraît d’une facilité déconcertante. Nous arrivons assez vite à la crête et là, nous retrouvons nos deux compères en fâcheuse posture. Françoise est passée la première sur l’épaulement, Fred lui a passé ses bagages de main pour pouvoir escalader à son tour, mais cette gourde a perdu l’équilibre, trop lourd pour ses petits bras, et elle a failli dégringoler. Fred a juste pu attraper une sangle de la claie avec sa copine suspendue comme une tortue soulevée par la carapace. Elle s’est râpé les genoux, bien sûr a laissé tomber les matelas dans le vide et depuis elle reste collée au rocher, elle ne veut plus bouger ni que Fred la lâche. J’entends Flo grogner entre ses dents serrées « quelle gourde ». Elle me laisse son cubi et grimpe à côté de Fred et se met à lui parler.
— Françoise, calme-toi. Arrête de faire l’andouille. On ne va pas passer la nuit ici, non ? Allez, je vais passer derrière toi…
— Non, NON ! Tu vas me faire tomber, on va mourir toutes les deux…
— Mais non, Fred te tient et moi je ne vais pas m’accrocher à toi. Je tiens debout, moi !
Elle passe ...