1. Les aventures de Martin : Un été de Martin


    Datte: 31/05/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Baron de Brabant, Source: Hds

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
    
    En ce mois de juillet, il fait torride sur Paris. Dans son appartement rénové du Marais, au dernier étage sous les combles, Martin a chaud. Il dort entièrement nu ; a rejeté les draps. Couché sur le ventre, il montre son petit cul rose, ourlé de poils blonds, qui luisent dans le soleil. Dans la raie culière, ils se font plus abondants, pour rejoindre et auréoler la rondelle brunâtre. Sur les jambes et les avant-bras, il a aussi des poils dorés, qui font ressortir son bronzage. Ses couilles purpurines sont rasées. Mais au-dessus, sur son boudin blanc, il cultive un petit jardin bien frisé. Il soigne son pubis avec de l’huile de monoï, le peigne, l’épile. Et une raie verticale part vers le nombrilus, du plus bel effet.
    
    Il gémit. Sa bite est écrasée sous son poids. Et Polichinelle commence à se réveiller. Sentant l’aiguillon, Martin, à demi endormi, le fait coulisser doucement sur le drap de dessous. Il bande ; s’assied au bord du lit et contemple son érection. Puis, il se dirige en bâillant vers la salle de bains et se met sous la douche. Le jet d’eau tiède lui fait du bien . Il achève de se masturber et lance une giclure de sperme blanc et épais sur le carrelage. Il se savonne le gland, puis son petit truduc. Il se sent propre, se sèche vigoureusement, et enfile un string rose, qui moule bien son service trois pièces. Il aime sentir ses fesses à l’air, et surtout, la sensation de la ficelle qui titille son ...
    ... anus.
    
    Il passe un futal blanc, ses pieds nus dans des baskets blanches aussi, puis un polo Lacoste rose. Il se regarde dans le miroir, ébouriffe ses cheveux blonds avec un peu de gel. Ses yeux bleus lui renvoient l’image de sa gueule d’ange. Il s’aime.
    
    En sifflotant, il prend son portefeuille, ses clés de voiture et se dirige vers le garage en sous-sol. Il a décidé de se rendre en banlieue, en bord de Seine, pour se rafraîchir. Sa Golf blanche décapotable. Contact. Et, fouette, cocher !
    
    Il connaît une guinguette sympa, qui affiche : « Men only ». Il peut y rencontrer des potes… Les pneus crissent sur le gravier du parking. Quelques mecs attablés devant un mojito ; d’autres, qui se baignent. On se croirait dans une nouvelle de Maupassant, ou dans un tableau de Renoir.
    
    Derrière le comptoir trône le patron, Fabrice Poivre, dit « Fafa ». Sa chemise kaki est large ouverte sur un torse aux poils gris. C’est un ancien adjudant d’active, retraité à présent. Il avait pour mission d’instruire les jeunes recrues, métier qu’il adorait. Il les faisait suer à l’exercice, les engueulant, leur envoyant ses postillons à la gueule. Puis, le meilleur moment, la douche. « Allons, Messieurs, à poil, et que ça saute ! C’est moi qui mets l’eau chaude ! » . L’air de rien, derrière ses paupières lourdes, il les matait se désaper. Dans son slip crado, jaunâtre, raidi par le sperme séché, il ne pouvait s’empêcher d’épancher quelques gouttes. Il avait une bite courte, mais large, comme un saucisson ...
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