Féminisation presque forcée... (5) - Histoires de Sexe

Féminisation presque forcée... (5)

... sa silhouette dans une robe en sky qui moulait parfaitement sa silhouette à la fois puissante et pulpeuse. Elle ne s’était pas embarrassée d’un soutien-gorge et sa lourde poitrine tendait la toile plastique. Ses tétons guerriers pointaient fièrement vers le ciel. Ses magnifiques obus se balançaient de droite à gauche à chacun de ses mouvements. Son cul monumental était parfaitement mis en valeur et la toile de plastique noir ne laissait aucun doute quant à la musculature phénoménale de ses jambes. Elle s’était perchée sur des talons hauts à semelles compensées qui la faisaient culminer à plus de deux mètres ! Mes yeux arrivaient à peine à hauteur de ses seins qui étaient plus gros que ma tête. Je ne m’étais jamais senti autant ridiculement petit, mince et faible face à personne.

Je baissais la tête pour apprécier la différence de taille titanesque entre ces jambes et les miennes, et à nouveau je sentis d’agréables vibrations jaillir de mon bas-ventre pour secouer tout mon corps. La géante prit la parole.

— Si tout le monde est prêt, nous pouvons y aller.

Clara qui se considérait comme mon ange gardien, encore plus depuis que j’étais devenue une collégienne court vêtue, s’inquiéta de me voir affronter le froid du mois de janvier si peu habillé.

— Il faut lui trouver un manteau ? Ce n’est pas son petit chemisier et sa minijupe qui couvre à peine ses adorables petites fesses qui vont la protéger.

Samantha réfléchit une seconde et sortit un blouson en fourrure ...

... blanche du placard.

— Je le portais quand j’avais 15 ans. Ça risque d’être un peu large pour elle, mais je ne vois rien d’autre.

Elle me présenta le chaud vêtement pour que je l’enfile. Il était en effet un peu trop grand. Mes mains sortaient à peine des manches et on aurait pu en mettre deux comme moi en largeur dedans ! Il m’était si long qu’il avait plus l’aspect d’un manteau. Il cachait toute la partie habillée de mon corps, donnant l’impression que je ne portais aucun vêtement, à part les bottines...

Samantha fut très satisfaite de son choix.

— ça lui va comme un gant ! Allez, on sort. Je meurs de faim !

L’idée de m’exposer ainsi, vêtue comme Killy Minogue à sa grande époque, me paralysa. Et si on me reconnaissait ? Et si un homme tentait de me séduire, et sexy comme je suis, s’il tentait de me violer ? Et en découvrant mon petit pénis, que me ferait-il ?

Voyant que je ne bougeais pas, Véronique me mit la main au cul, passant allégrement sous ma jupe et enserrant dans sa large paluche mon petit fessier.

— Avance petite pute, de toute façon, personne ne va te reconnaitre !

— Mais j’ai peur ! Et si un homme me drague ?

— Bien sûr qu’ils vont te draguer ! Tu es habillée comme une tapineuse, avec un petit cul à damner un évêque, et une bouche faite pour sucer des bites ! Tu ne vas pas y couper.

La géante augmenta la pression sur mon séant et me força à marcher. Elle ne me relâcha qu’une fois dans la rue.

J’étais envahi de sensations nouvelles. Le ...