Féminisation presque forcée... (5) - Histoires de Sexe

Féminisation presque forcée... (5)

Véronique fut la première à revenir. Elle avait gardé son jean qui moulait ses courbes musclées et avait par contre opté pour un tee-shirt débardeur blanc qui sublimait ses épaules massives. Il laissait voir un soutien-gorge en fine dentelle qui avait bien du mal à contenir son opulente poitrine, que le sport maintenait ferme et haut placée. Elle rayonnait de puissance et s’était joliment maquillé le visage. Elle me souriait tendrement et je pris l’initiative de la complimenter.

— Tu es vraiment très belle. Ce tee-shirt te met vraiment bien en valeur !

— Ah ouais ? Que préfères-tu ?

— Je ne sais pas, tes bras musclés, ta magnifique poitrine, ta silhouette puissante...

L’amazone rougit de surprise et se planta face à moi.

— Je me doutais que tu allais aimer mes muscles.

Elle fléchit son biceps face à mon visage et m‘intima d’un hochement de tête de le toucher. Je posai mes mains autour du monstre et ne pus en faire le tour tant il était large ! Il était également dur comme de l’acier et j’avais plus l’impression de toucher un tronc d’arbre qu’un bras humain. La géante jubilait de me voir apprécier le contact et je la félicitais.

— Il est vraiment énorme ! Je n’arrive pas à en faire le tour.

— Laisse-moi tâter le tien, petite fille.

Je fléchis mon bras droit et la géante le saisit immédiatement à hauteur du biceps. Son énorme main en faisait allègrement le tour tant mes membres étaient rachitiques.

— Tu as vraiment des membres de pucelle ! Les ...

... fillettes que j’entraîne sont bien plus musclées que toi et elle n’aurait pas de mal à te battre !

Je me délectai de cette phrase tant j’appréciais maintenant d’être considéré comme une petite chose faible et fragile. Clara apparut alors. Elle était vêtue d’une robe en laine qui n’aurait pas dû être moulante, mais son corps massif mettait le vêtement à rude épreuve ! Elle laissait ses jambes aussi grosses que des troncs d’arbres apparaître jusqu’aux genoux. Je n’avais jamais vu de mollets aussi gros et musclés. Elle regardait à nouveau avec envie mes jambes maigrichonnes.

— Tu as de si belles jambes ! J’aurais tellement aimé être aussi fine que toi ! Viens à côté de moi pour que l’on compare leur taille.

Je me levai pour positionner mon petit corps à côté de la géante obèse, qui releva sa robe jusqu’à mi-cuisse. Je plaquai ma jambe contre la sienne et la différence de taille était impressionnante. Véronique en fit le constat.

— Une seule de tes cuisses doit être plus lourde que son corps tout entier !

Clara en parut vexée et Sophie se sentit obligée de se rattraper.

— Mais tu sais que je t’aime comme ça ! Tu t’en es bien rendu compte la nuit dernière ?

Clara sourit malicieusement.

— En effet, si tu avais pu avoir une main supplémentaire pour me peloter, tu l’aurais fait !

Les deux géantes se rapprochèrent l’une de l’autre et s’embrassèrent à pleine bouche. C’est à ce moment que Samantha entra dans la chambre et subjugua tout le monde. Elle avait passé ...