Une histoire sans fin (2)
Datte: 30/05/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: chgrey, Source: Xstory
... suis inondé de plaisir. Je la sens sourire autour de moi. S’ensuivent de longues ou courtes minutes de pur bonheur. Me redressant, je la vois jouer avec mon plaisir. Je sens ses lèvres qui glissent, sa langue qui tourne avant qu’elle n’engouffre l’ensemble, apparemment sans peine, au fond de sa gorge. Elle accélère, ralentit, change le rythme de ses mouvements. Elle lèche sur toute la longueur en me jetant un regard qui, ajouté à son corset à moitié défait et à sa jupe remontée, me fait perdre les derniers repères qui me restaient.
Je suis dans une chambre que je ne connais pas avec une fille aux cheveux rouges que je découvre encore. Oublié mon ordinateur. Le tchat, mes collègues sont loin. Je vis la meilleure fellation de ma vie. La belle se caresse la poitrine à travers son haut, passe sa main sous sa jupe, sur mon torse pendant que s’affairent sa bouche et le reste. Comme elle ne s’arrête pas, je la fais s’allonger sur moi doucement. Sa tête toujours au niveau de mon entrejambe. Et ses cuisses de part et d’autre de la mienne. J’ai maintenant un accès complet à ce qui m’intéresse. Je l’entrevois lisse et parfumé, son abricot que je vais me faire un plaisir de dévorer.
— Haha c’est à moi de m’occuper de... ooooh... continue...
Je viens de glisser ma langue dans cette jolie fente. Elle ne dit rien. On ne dit plus rien.
J’explore, je découvre, je lèche, je caresse tout ce qui est à ma portée. La pointe de ma langue titille son clitoris pendant que mes mains ...
... glissent de ses cuisses à son cul. Elle, de son côté, tente de rester concentrée et redouble d’ardeur. Je la sens se crisper, elle gémit. J’ai rarement vécu un moment aussi érotique, nous ne sommes plus que deux bouches et deux sexes à la recherche de l’orgasme de l’autre.
Cette fois, je me lâche tout en enfonçant ma langue en elle. Cette nana va me tuer. Je ne compte pas la laisser en plan. Elle est toujours sur moi et dès que j’ai repris mes esprits, je me relance à l’assaut de sa jupe.
— Hum c’est trop bon, j’adore ta langue... ohlala oui oui...
Je veux la faire décoller aussi loin que moi. Je redouble d’ardeur et la torture de toutes les manières imaginables.
— Oh mon Dieu, je vais jouir...
Et pile à ce moment-là, la sonnerie de l’interphone, finalement pas si cassé on dirait. Le bruit retentit dans tout l’appartement ou dans ma tête.
— Oh merde ! C’est sûrement Marc... (son compagnon)
En 30 secondes, nous sommes debout, rhabillés, et Sarah me pousse vers la sortie pour que je ne le croise pas. Je ne suis pas censé être ici. Elle me dit de prendre l’escalier, m’embrasse de toute sa frustration pendant cinq secondes et me jette dehors.
Je suis encore retourné de ce qui vient de se passer, je prends les escaliers, quitte l’immeuble sans me faire voir et prends le chemin du retour.
Je suis un peu déboussolé de la fin de cette journée, mais la tête encore pleine du souvenir de Sarah. Et du sourire qu’elle m’a laissé avant de partir, dissimulé sous une ...