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Myriam se révèle
Datte: 01/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Aqw12, Source: Hds
... qui ne soutient plus rien depuis longtemps ; je retire mon débardeur remonté en bandeau au-dessus de ma poitrine et ôte ma mini-jupe en jean tire bouchonnée sur mes hanches depuis le début de l’assaut. Il me regarde paisible me dévêtir et je le sens fier de lui. Je ne pense qu’à une chose : regagner la cuisine et avaler un verre d’eau. C’est alors qu’il m’interroge : « T’as pas trop l’habitude d’avaler du foutre n’est-ce pas ? » « Oui, ça ne m’est pas arrivé souvent… » « Par contre tu suces pas trop mal… Tu suces mieux que ta copine Patricia… mais pas aussi bien que sa copine Audrey ! » A l’évocation de ce prénom, je sursaute. Déjà effarée qu’il ose comparer ma méthode à celle de ma copine mais voilà qu’il lâche un prénom que je connais. Serait-ce possible qu’il connaisse aussi Audrey, la troisième de la bande. « Tu la connais Audrey ? » reprend-il. « Ça dépend : quelle Audrey ? » « La copine blonde de Patricia… Celle qui s’est mariée il y a environ six mois. Patricia m’a montré quelques photos du mariage et d’ailleurs, vous étiez bien bonnes en demoiselles d’honneur toutes les deux !... Eh bien, moi aussi je la connais : son air de ne pas y toucher, sa peau de porcelaine, son gros cul blanc plein de cellulite, ses seins en poires aux tétons roses pâles à peine visibles et son sourire chevalin ! C’est une bonne grosse chienne elle aussi. Vous formez une sacrée équipe de pétasses toutes les trois ! » Surenchérît-il dans un éclat de rire. «C’est la moins ...
... bandante des trois mais c’est la meilleure suceuse. Elle a dû en avaler pour avoir une technique pareille ! Tu vois, Patricia, elle est trop nerveuse, trop sèche dans ses coups de langue, dans sa façon d’aspirer. Toi, t’as pas une grande technique mais on sent que tu t’appliques. Tu es douce et tendre : une bonne maman, quoi. Et puis ta bouche est chaude et tes grosses lèvres de black : c’est du velours ! » J’ai les jambes coupées, je suis estomaquée et je descends à la cuisine. Arrivée à la moitié de l’escalier j’entends dans la chambre un tiroir qui s’ouvre et se referme. Mon verre d’eau engloutit, je m’affaire à la cafetière quand il me rejoint. Je ne remarque pas ce qu’il pose en vitesse sur une des chaises de la cuisine rangée sous la table. Lui aussi avale un verre d’eau mais j’observe qu’il lui sert à ingurgiter un comprimé que je devine bleu. Preuve s’il en était besoin que les événements ne vont pas cesser de sitôt. Le café est fumant dans un grand bol mais il me demande de le passer quand même au micro-onde. « Je l’aime brulant » précise-t-il. Il est assis en bout de table et me regarde déambuler, nue (j’ai toujours mes bottes beige à talons !) à sa gauche. « T’as vraiment un bon cul pour ton âge ! Tu dois les faire bander les mecs au bureau ?... Y en a pas quelques-uns qui te grimpent dessus de temps en temps ? » « Sûrement pas ! » J’essaye de répondre en mentant du mieux possible afin de couper court à cet interrogatoire et ne pas être contrainte d’avouer les ...