1. Myriam se révèle


    Datte: 01/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Aqw12, Source: Hds

    ... t’as vu ma bourgeoise ? » J’acquiesce en haletant.
    
    Il continue : « Elle était couchée là il y a une heure et maintenant c’est toi qui va bouffer son oreiller !... »
    
    Ses mots me font autant d’effet que ses coups de reins. Je me découvre tel qu’il m’a deviné : prenant mon pied à être bousculée. Je jouis une première fois sans oser me montrer bruyante. Il n’attendait que ça pour s’interrompre brusquement. Il prend l’oreiller de sa femme et s’en sert pour éponger mon entre cuisses et mon sillon fessiers qui ruissellent de sueur et de cyprine... « Ce soir, ma vieille dormira dans tes effluves ! » sourit-il. Tant de vulgarité et de perversité devrait me révulser mais au lieu de ça, je sens poindre à nouveau une sensation d’excitation et d’envie de m’abandonner à cet homme qui m’honore comme un animal honore sa femelle.
    
    Il s’allonge sur le dos et m’invite au 69. Je le prends généreusement en bouche tandis qu’il dévore mon sexe et mon cul. Je repense alors aux mots de Patricia : « Tu vas voir ma vieille, on t’a jamais bouffé le cul comme il va te le faire ! »
    
    Et en effet, sa langue, sa bouche sont d’une précision et d’une intensité telle que je sens à nouveau la boule de l’orgasme monter dans mon ventre. Il le devine car ma mouille devient épaisse et abondante. Je coule à grandes eaux et m’applique pour lui donner quand même une pipe digne de ce nom. Comme il sait que je suis surtout vaginale, il attend le dernier moment pour me planter 3 doigts dans le vagin et me ...
    ... pistonner férocement tandis que sa langue râpe mon anus. Je libère sa queue et explose cette fois-ci sans retenue. Je crie comme une folle, empale ma vulve sur sa main et mon cul sur son visage. J’ondule, me saccade, je tremble comme une feuille... je suis en transe. Il me laisse à peine redescendre que, déjà, sa main libre agrippe ma nuque et me ramène à mes obligations de suceuse.
    
    Je reprends le cours de ma fellation mais mon orgasme ne l’a pas laissé insensible. Il est dur comme du béton et sa bite bat comme un cœur dans ma bouche. Il me bloque la tête avec ses mains, soulève ses hanches et se met à baiser ma bouche. Sans ménagement, il explose au fond de ma gorge. Une main bloque encore ma tête m’empêchant de la reculer et l’autre main cherche mon nez pour le pincer, m’obligeant à déglutir et avaler donc une grande quantité de sperme.
    
    Nous ne sommes qu’au début de cette matinée qui semble devoir tenir toutes ses promesses…
    
    C’est vrai qu’à peine cinquante minutes se sont écoulées depuis mon arrivée dans cette maison et j’ai déjà perdu toute notion de morale et de temps. Il me tarde d’avaler un grand verre d’eau pour faire passer le goût du sperme qui persiste. Toujours allongé sur le dos, il me claque le fessier en disant :
    
    « Bon c’est pas tout ça ! Toi tu viens de prendre ton petit déjeuner mais pas moi. Fini de te foutre à poil et descend à la cuisine me faire un grand bol de café brulant, je te rejoins. »
    
    Debout à côté du lit, je dégrafe enfin mon soutien-gorge ...
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