Lucie, l'amie intime ! (3)
Datte: 24/05/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: CHARLES-LOUISE, Source: Xstory
... jamais elle ne l’avait été. Les doigts de mes amants glissaient délicieusement, allant du clito jusqu’à, me sembla-t-il, mon anus.
Petit à petit, nous nous étions rapprochés d’un fauteuil où ils finirent tous les deux par me poser. Colette me tira vers le bord, m’écarta les jambes et je sentis aussitôt sa langue sur le haut des cuisses, au-dessus des bas. Daniel avait entrepris mes seins qu’il suçait l’un après l’autre, les mordillant, les aspirant. Je tenais toujours sa bite dans la main en faisant quelques va-et-vient. Colette se fraya un chemin dans ma toison, que j’avais bien fournie à l’époque, écarta mes lèvres et déposa un baiser sur mon clito. Personne ne m’avait fait cela de cette façon. Mon défunt mari était partisan de la position du missionnaire et le reste ne l’intéressait pas. Il me prenait longuement, me faisait jouir parfois, mais jamais il n’avait tenté de me lécher la chatte. Mon amant lui n’était pas attiré par cela non plus. Quelle délicieuse sensation que de sentir une langue parcourir ma chatte ! Elle allait du clito au vagin et tentait même d’y pénétrer.
Je mis ma main libre dans ses cheveux et l’incitai à me sucer plus fort. Elle a alors mis un doigt, puis deux, dans mon vagin en faisant des mouvements de va-et-vient. Mon bassin allait à la rencontre de ses doigts, de sa langue. Je gémissais, poussais de petits cris. J’avais les yeux fermés, concentrée que j’étais sur le plaisir qui petit à petit arrivait. Je les ouvris et je vis Marc, son verre ...
... à la main, debout près du fauteuil, qui me regardait. Il me sourit et me dit :
— Tu es belle comme ça !
Et soudain, elle arriva, brutale, douloureuse, mais délicieuse. La jouissance était terrible, mon ventre chercha à fuir cette langue, ses doigts qui déclenchaient des ondes de plaisir, mais Colette me tenait fermement les cuisses et Daniel, la langue dans ma bouche, me plaquait contre le fauteuil en me pressant les seins. Je serrais sa bite très fort, allant jusqu’à planter mes ongles dans la chair. Colette se retira, Daniel me lâcha et vint se placer entre mes cuisses. Il me souleva en me tenant les cuisses de telle manière que mon bassin se trouvait à hauteur de son sexe. J’étais allongée sur le fauteuil, les jambes et les cuisses relevées, me tenant aux accoudoirs pour ne pas glisser. Colette me caressait d’une main et de l’autre, elle amena la bite de Daniel jusqu’à ma chatte où elle la positionna à l’entrée de telle manière qu’il n’eut plus qu’à pousser pour la faire entrer.
Son gland et son sexe étaient gros, bien plus gros que celui de Marc et je sentis la progression de ce pieu dans ma grotte. Il commença à me limer, doucement au début et puis de plus en plus vite en donnant de grands coups. Je sentais ses couilles buter contre mes fesses. Soudain, il se retira et prenant son sexe à la main, jouit en lâchant de longs jets de sperme sur mon ventre et mes seins. Colette étalait ce jus sur mon corps et se baissant, prit la bite de son mari entre les lèvres et ...