1. Lucie, l'amie intime ! (3)


    Datte: 24/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: CHARLES-LOUISE, Source: Xstory

    J’allais me lever, mais n’en eus pas le temps.
    
    — Tss, tss, vous n’allez pas me priver de vous raconter ma première sortie. Vous savez, je suis tout comme vous, à vous raconter tout cela, je me sens toute chose. Je suis tout émoustillée à ces souvenirs. Voulez-vous un cognac ? Je crois que cela nous fera du bien.
    
    Elle se leva, se dirigea vers un meuble-bar et revint avec deux verres ma foi bien remplis de ce délicieux breuvage qu’elle posa devant elle sur la table basse.
    
    — Venez sur le canapé, vous ne serez plus ébloui par le soleil, je vois que cela vous gêne !
    
    Je pris place dans le coin opposé de celui où elle se trouvait. Je pris mon verre, lui tendis le sien. Elle quitta ses chaussures et se tournant de côté en me regardant, mit ses jambes sur le canapé. Ses pieds étaient près de mes cuisses.
    
    — Ah, oui, où en étais-je ? Daniel et Colette !
    
    La main de Marc sur mon sein, nous discutions de tout et de rien en buvant nos verres. Je sentais que l’alcool me montait un peu à la tête.
    
    — Cela vous dirait de quitter cet endroit ? dit soudain Colette. Notre appartement n’est pas très loin d’ici et nous pourrions terminer la soirée chez nous. Et de plus, si cela vous dit, vous pourriez même rester dormir. Marc m’a dit que le congrès était presque terminé et qu’il n’y avait plus grand-chose à y apprendre.
    
    — En effet, répondit Marc, pour moi c’est terminé, la partie restante ne me concerne pas. En ce qui concerne votre invitation, je ne suis pas contre si Lucie ...
    ... veut bien suivre.
    
    Pourquoi pas, cet endroit est un peu bruyant tout de même ! Merci pour votre invitation à dormir, mais je préférerais rentrer à l’hôtel !
    
    — Pas de problème, vous ferez comme bon vous semble.
    
    En effet, leur pied à terre n’était pas très loin, quelques centaines de mètres tout au plus. Un bel appartement au 1er étage d’un immeuble cossu, démontrant une certaine aisance financière des occupants.
    
    Sitôt arrivés, Daniel nous proposa une coupe de champagne et mit un CD de musique douce, créant dans le salon une douce ambiance feutrée.
    
    Marc et moi étions installés sur le canapé. Il m’avait repris dans son bras et sa main avait naturellement retrouvé le chemin de mon mamelon. Je le laissais faire !
    
    Daniel était assis dans un fauteuil face à nous et Colette s’était assise sur l’accoudoir. Sa robe courte la gênait un peu, elle se souleva et la remonta, ce qui découvrit le haut de ses bas noirs et son porte-jarretelles noir lui aussi.
    
    — Mon morceau préféré, fais-moi danser, demanda Colette à son mari. Vous pouvez danser aussi si vous le voulez !
    
    Daniel enlaça Colette et ils entamèrent un slow langoureux. Marc me tendit la main et je me retrouvais moi aussi enserrée dans ses bras, ses mains sur les fesses. Il me donnait des bisous dans le cou, m’embrassa sur la bouche et c’est là que j’ai senti que ma jupe remontait. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne dis rien. Peut-être les premiers effets de l’alcool ! Du coin de l’œil, je vis que Daniel avait ...
«1234...»