Hélène (42)
Datte: 24/05/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: rouge22, Source: Xstory
... autre supplice.
Elle passe à son jumeau et l’aspire. Je ne peux rien voir, mais je sens ce petit coquin gonfler.
Avant Pierre, je n’avais aucun plaisir à l’usage de mes seins, mais depuis qu’il m’a pris en main, mes bouts ont gagné en sensibilité. Ils sont devenus très excitables pour le plaisir, ou pour la douleur. Et même les deux ensemble.
Ma perceuse s’approche et badigeonne ma framboise de désinfectant. Je sais ce qui m’attend, mais je ne peux pas m’empêcher de frissonner.
Une pince métallique s’empare de mon mamelon et l’étire.
Ma bourrelle pose la pointe sur le côté gauche du téton. Elle appuie à peine, mon téton se gonfle comme s’il attendait une caresse. Puis elle pousse lentement, comme si elle voulait me faire déguster cette pénétration. Mon cœur s’emballe, je halète, j’arrive à maîtriser mon cri.
Je tourne la tête vers l’écran, j’y vois une femme en sueur, bouche ouverte, aspirant l’air à grandes goulées.
Comme un écho, j’entends mes propres râles, renvoyés par le système de sonorisation
La peau craque, l’aiguille traverse rapidement la chair puis bute sur la peau de l’autre côté de mon mamelon. Elle force et me transperce. Je bloque mon cri en serrant les dents.
A la suite du trocart, elle fait passer la barrette à travers ma glande. Elle fait une pose pour me laisser profiter des élancements de ma mamelle.
La sensation de fraicheur produite par le désinfectant sur mon autre sein annonce une autre souffrance.
L’aiguille ...
... transperce mon mamelon, je ne peux pas me retenir et je hurle.
On m’abandonne à la douleur de ma poitrine. Je sanglote.
Le temps de la pause s’écoule doucement.
Et puis, tout en délicatesse, une caresse râpeuse cajole mon clitoris. Ce ne peut être que mon chéri, je sens sa barbe de deux jours frotter l’intérieur de mes cuisses.
Sa langue titille mon bouton, il se gonfle. Je râle de bonheur, même si je sais que ce plaisir est le prélude à la souffrance.
Il stoppe juste avant ma jouissance.
La pince s’approche.
— Arrêtez, laissez-lui une minute de paix, avant...
Un pouce et un index saisissent mon berlingot et le masse. Il se regonfle.
Je sens la pointe contre mon petit organe érectile.
D’un coup, je panique. Et si je devenais incapable de jouir sous la langue de mon amour.
Mais je n’ai pas le temps de trembler. Elle force l’aiguille.
La douleur est atroce, je veux me cabrer, mais le crochet fiché dans mon anus me bloque le bassin et je retombe contre les bois de la croix.
Je suis pris de tremblements, je pleure et je gémis sans me pouvoir contrôler.
C’est fini.
Pierre se lève, escalade l’estrade. Il détache les chevilles, puis les poignets, il soulève la crucifiée, et l’emporte dans ses bras, Hélène ferme ses yeux et pose son front contre son cou. Ils disparaissent, je les suis jusqu’à la voiture.
Ma belle amie somnole derrière. Je me suis installée devant, à côté de Pierre.
Il gare la voiture devant ma maison.
— Je ne vous ...