1. Hélène (42)


    Datte: 24/05/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: rouge22, Source: Xstory

    Hélène : La cérémonie.
    
    Ce soir, je vais donner à mon amant ce qu’il ne m’a jamais demandé. C’est moi qui lui offre ce sacrifice. Je ne lui ai pas demandé son avis, c’est moi qui décide.
    
    Ce fantasme m’habite depuis que Pierre m’a fouettée pour la première fois. Et c’est une obsession depuis que je suis percée.
    
    J’ai demandé le secours de Christine. Elle a essayé de me dissuader, mais finalement, devant ma détermination, elle a accepté de m’aider.
    
    Mel m’aide à me préparer. Elle fait glisser la fermeture de ma robe longue, puis elle m’épluche, dégageant ma poitrine. Elle libère mes seins puis s’agenouille. Mon amie dégrafe mes bas, puis mon porte-jarretelles. Je suis nue.
    
    Elle me passe un petit corset de cuir noir, dont la seule fonction est de me serrer la taille et de tendre mes bas à coutures, ornées de petits nœuds le long du mollet. Je reste coquette, même dans la préparation de mon supplice. Elle s’agenouille pour m’aider à passer mes talons.
    
    Toujours à genoux, elle entoure mes chevilles de bracelets en cuir. Elle se relève et fait de même à mes poignets, qu’elle attache dans mon dos.
    
    Je me cambre, projetant mes seins libres de tout soutien en avant.
    
    Elle rassemble mes cheveux en queue-de-cheval. Elle boucle mon collier autour de mon cou.
    
    Elle cache mon visage sous un masque de dentelle.
    
    Puis elle approche le bâillon de mes lèvres.
    
    — Non, je veux qu’il m’entende crier.
    
    — Tu es sûre que tu veux le faire. Me demande mon amie.
    
    — ...
    ... Oui !
    
    — Mais, s’il n’aimait pas.
    
    — Je suis sa sultane, et comme telle, son esclave. C’est donc à moi de choisir comment je me donne à lui. J’ai choisi, il n’a rien à dire.
    
    — Mais on aurait pu faire ça dans le cabinet d’une professionnelle.
    
    — Tu as raison, mais j’aime me montrer.
    
    — Mais...
    
    — C’est ainsi ! J’aime donner le spectacle de ma souffrance, et c’est meilleur quand je sais que Pierre y assiste. Et maintenant, conduis-moi.
    
    Mel croche la laisse à mon collier
    
    — On y va, tu es sûre ? M’interroge-t-elle comme si j’allais renoncer.
    
    — On y va !
    
    Elle me tire doucement à travers le corridor, et nous entrons directement sur la scène.
    
    Elle détache le mousqueton, et m’abandonne au milieu d’un cercle de lumière légèrement rosée.
    
    Un deuxième spot s’allume, éclairant la croix de Saint-André et les silhouettes des deux assistantes, brunes, et de l’officiante, à la chevelure aux reflets roux. Elles délient mes mains.
    
    Je me tourne vers la salle obscure, espérant capter le regard de mon amour.
    
    De moi-même, je me tourne et je me colle aux bois de mon supplice.
    
    Je lève mes bras, elles attachent mes mains aux anneaux. Elles s’agenouillent, et d’une tape légère, elles écartent mes chevilles et les crochètent aux mousquetons.
    
    Voilà je suis attachée. J’aime être crucifiée : cette immobilisation m’avantage. De face, l’étirement remonte mes seins et efface mon petit bedon. Et de dos, je peux me cambrer et me montrer mon gros cul dans toute son ...
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