1. Série insolite. Épisode 3 : « Isabelle » et le concours de salope.


    Datte: 23/05/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... supplémentaires à mon chemisier.
    
    Je m’étais laissée faire, je savais que je plaisais à cet homme qui me fit faire un demi-tour en admirant ma croupe : « Voilà ! C’est pas mal, tu corresponds au profil. » Me dit-il en me pelotant la fesse :
    
    — Jusqu’où peux-tu aller pour avoir ce poste ?
    
    — Que voulez-vous que je vous fasse ? Une pipe peut-être ? lui demandais-je.
    
    Michel ne prit pas le temps de répondre, il baissa son pantalon et immédiatement je m’activai sur sa verge que je fis grossir dans ma bouche. Cependant, il ne s’en était pas contenté, il me baisa sans retenue et j’avais accepté tout ce qu’il m’avait demandé en prenant un certain plaisir, il savait se servir de sa queue et lorsqu’il me sodomisa, il m’annonça que j’étais embauchée et que je commençais dès aujourd’hui. Le soir même, j’avais dormi dans son lit et le mois suivant, je rendais le petit appartement que je louais pour venir loger chez lui. Michel fut très gentil avec moi, il me payait bien, je ne l’aimais pas, cependant je l’appréciais et lui apportais son bien-être sexuel.
    
    Au bout de deux années de vie commune, le chiffre d’affaire de son bar fut toujours en augmentation, les soirs, je n’hésitais pas à montrer une grande partie de mon anatomie, par un immense décolleté de ma poitrine et le haut de mes cuisses et les meilleurs clients avaient le droit d’aventurer une main sur mes fesses lors d’une danse. Je n’avais pas besoin de coucher pour attirer les clients, néanmoins je n’étais pas restée ...
    ... longtemps fidèle. Très vite j’avais accepté pendant mon jour de repos, de rencontrer certains hommes que je trouvais à mon goût. Michel le savait mais comme il voulait me garder à tout prix, il acceptait le deal que je lui avais fait.
    
    Avec ce que j’avais vécu jusqu’à présent, je pensais bien avoir trouvé ma destinée, je n’étais pas malheureuse et me contentais de cette vie. Pourtant le lundi 6 juin 1994 à 9 h 30 du matin, tout bascula lorsque je vis arriver cet homme au volant de sa Mercédès classe C coupé sport. Je sus immédiatement que ce gentleman, la petite quarantaine était l’homme de ma vie, je le voyais souvent dans mes rêves. Je ne l’avais pas quitté des yeux, il avait fait le plein d’essence, gara sa berline allemande devant la vitrine de l’établissement et entra payer à la caisse de la station où Michel se trouvait.
    
    Il allait sortir lorsque nos regards se croisèrent, il referma la porte qu’il avait entrouvert et vint directement s’assoir sur le tabouret en face de moi en commandant un café. J’étais toute chose, mon assurance avec les hommes s’était envolée comme par magie, j’étais comme une jeune pucelle devant son premier amour de jeunesse. Je tremblais comme une feuille lorsque je déposai sa tasse, je renversai du café chaud sur la soucoupe : « Excusez-moi Monsieur ! Je vais vous en refaire un autre. » Balbutiais-je :
    
    — Ce n’est pas la peine, c’est bien comme ça ! Me dit-il avant de poursuivre : Moi, c’est Étienne et toi !
    
    J’étais folle de joie, il me ...
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