1. Série insolite. Épisode 3 : « Isabelle » et le concours de salope.


    Datte: 23/05/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    Je m’appelle Isabelle, j’ai 55 ans et je vais partager avec vous, chères lectrices et chers lecteurs sous la plume de l’auteur Cyp Perruche, une partie de ma vie sexuelle de femme. Je suis née en 1966 dans une ville moyenne de province où j’ai passé la plus grande partie de ma vie. Je suis issue d’un milieu défavorisé, mon père buvait beaucoup et battait ma mère. Dès mon adolescence, pour m’échapper de cet enfer, je trainais dans la rue et fut obligée de partir vivre dans un foyer. À 20 ans, je n’avais plus rien à apprendre sur les mecs.
    
    A cette époque, j’avais une grande expérience sexuelle, mes copains et mes copines étaient issues du même milieu que moi, on échangeait tout sur le sujet, on avait beaucoup d’expériences à partager, surtout comment se comporter lorsque l’on devait coucher. Je n’étais pas vilaine et j’avais une poitrine opulente, j’attirais beaucoup de types bien plus âgés que moi et lorsque le mec me plaisait, je n’hésitais pas à me donner à lui. Je connus très vite : Les fellations, les baises en tout genre, la sodomie, les éjaculations faciales et buccales, la branlette espagnole, sans aller au-delà dans le hard.
    
    Pourtant étant petite, je rêvais d’une belle cérémonie de mariage, vêtue d’une grande et belle robe blanche au bras de mon prince charmant. Cependant ce conte de fée ne s’était jamais produit. Il m’était même arrivé, lorsque je n’avais pas assez d’argent pour finir la fin de mois, de faire deux ou trois pipes à la sortie de boite pour ...
    ... avoir un billet de 50 balles. Avec uniquement le Bac en poche, je ne faisais que des petits boulots. Avec le peu d’argent que je gagnais, je préférais m’acheter de belles fringues plutôt que de manger, je faisais très attention à ma ligne car mon physique me permettait de me taper quelques hommes mariés qui me récompensaient sans que je leur impose quoi que ce soit.
    
    J’avais donc vécu au jour le jour quelques années, jusqu’en 1992 où j’avais répondu à une annonce. Le propriétaire de la grande station-service à la sortie de la ville, cherchait une serveuse. J’avais 28 ans, cet homme qui venait de divorcer désirait que je remplace sa femme au bar. Michel en avait douze de plus, il n’était pas très beau et avait une bonne bedaine, ce n’était pas du tout mon genre mais lorsqu’il m’avait reçue, je compris aussitôt que je lui avais fait de l’effet. N’étant pas la seule candidate, le lendemain, il me convoqua pour me donner sa réponse. Pour le second entretien, il ne m’avait pas reçu dans la station mais dans son bureau derrière le bar.
    
    Je m’étais vêtue pour l’occasion de ma plus belle mini-jupe, d’un corsage moulant avec un large décolleté et mes escarpins à talons haut. Je désirais ce poste, je voulais donc me montrer à mon avantage. Dès mon arrivée, Michel me regarda et vint se placer face à moi :
    
    — C’est exactement ce que je veux que tu sois, il me faut une serveuse sexy et aguichante mais il faut en montrer un peu plus aux clients. Me dit-il en défaisant deux boutons ...
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