Après la sangria
Datte: 17/08/2018,
Catégories:
fh,
couple,
vacances,
hotel,
amour,
Oral
Auteur: Rocco si refroidi, Source: Revebebe
... rire, puis elle reprend :
— Génie ! Fais-moi jouir. Et en silence ! Je t’ai déjà dit que ça matraque mes envies de t’entendre raconter des bêtises. Enfin… Pardon. Ce n’est pas ce que je voulais dire. Mais joue, s’il te plaît, joue… J’en ai envie.
La faire jouir ? Elle croit que ça va être facile, après ce qu’elle vient de faire ? Maintenant j’ai l’impression d’être un petit garçon qui n’a jamais vu une fille ! Mais je ne baisse pas les bras. Si elle sait ce qu’elle peut obtenir avec sa bouche, moi je sais ce qui se passe quand elle a ma main ou ma tête entre ses cuisses.
En prenant des airs de macho, je lui ordonne :
— Écarte tes jambes si tu en as vraiment envie. Une cochonne comme toi, ça a besoin d’être léchée pour crier. Et ne mets pas tes doigts dans ton sexe ! J’ai envie d’y mettre les miens avant d’y mettre ma langue. Et puis d’abord, ce n’est même pas ton sexe ! Il est à moi. Allez, vite ! J’ai soif de mon sexe.
Elle sait qu’elle a tout à y gagner. Alors elle m’obéit, dans l’intérêt légitimement égoïste de son plaisir.
Je ne remets que deux doigts en elle. C’est plus agréable. Et je les recourbe vers le haut, à la recherche de son point G. Je sais que je ne suis pas très fort à ce jeu-là, mais Tina est bon public. Je crois qu’elle remplace mon peu d’efficacité par le plaisir qu’elle a, quand elle sent dans son ventre combien j’ai envie d’être la source de son plaisir.
Tina caresse ma poitrine. Elle a aussi repris ma verge dans sa main et elle la ...
... retrousse à petits va-et-vient délicieux. Elle roule les hanches d’avant en arrière et ce qui coule de son sexe mouille toute ma main pendant que je continue à l’explorer tendrement.
Tina reste lucide tout de même. Et le plaisir que je lui donne, elle en cherche toutes les subtilités sensuelles et toute la délicatesse en restant les yeux fermés.
Il est possible aussi qu’elle ait envie de ressentir au fond de son ventre ce qu’elle a ressenti dans sa poitrine quand elle m’a serré dans ses bras sur la jetée du port, tout à l’heure. Je le sens aux mouvements infimes et délicats de son bassin et aux vagues qui creusent son ventre dès que j’appuie mes doigts un peu plus ici, ou bien là.
Elle susurre avec une voix que l’envie du meilleur fait remonter dans des tonalités enfantines :
— Enfonce-toi moins loin. Oh ! Là, c’est mieux.
Les mots de Tina tintent dans mes oreilles comme les notes acidulées du carillon de porte d’un vieux magasin de bonbons.
Je rêve d’être le marchand qui sourit en voyant rosir d’excitation gourmande la fille aux yeux pétillants qui vient d’entrer chez lui pour choisir ses petits plaisirs sucrés. Il sait déjà qu’il ne lui fera pas payer toutes ses folies de papilles, puisque c’est lui-même qui se délecte à lui faire tout goûter.
Mes doigts sont les sucres d’orge dont je régale Tina. Et je les veux aussi caramels blonds trop doux, chamallows étouffants ou bien fraises Tagada fondantes. Je crois que si Tina le désirait, je pourrais continuer ...