1. Après la sangria


    Datte: 17/08/2018, Catégories: fh, couple, vacances, hotel, amour, Oral Auteur: Rocco si refroidi, Source: Revebebe

    ... dans son vagin.
    
    Maintenant, elle miaule et elle serre toute sa main sur ma verge. Son autre main se dépêche de m’encourager en plaquant ma main entre ses cuisses.
    
    Je vois de nouveau sa tête qui bascule en arrière mais cette fois, je ferme les yeux. Pourquoi ? Je ne sais pas. C’est peut-être la peur d’être trop excité pour rester raisonnable ? Ou bien, une gêne idiote de la voir s’abaisser à faire cela, alors qu’elle vient d’expliquer qu’au contraire, elle fait ça avec une pointe de domination sur moi ?
    
    Je me rassure en me rappelant que nous sommes en train de jouer à celui qui sera le plus excité.
    
    C’est l’impression de sentir que ma verge tout entière glisse dans sa gorge qui rouvre mes yeux et je ne vois plus qu’une chose : je n’ai plus de verge. Elle l’a fait disparaître entièrement en m’enfonçant jusqu’à la garde dans sa gorge complètement offerte.
    
    Ses lèvres chaudes sont délicieusement enroulées tout autour de ma verge, au plus près de sa base. Comme le ferait une avaleuse de sabres ! Je sens même un peu ses dents qui pressent la chair de ma hampe.
    
    Et là, il n’y a plus de mots. Il n’y a plus que les couleurs rougeoyantes qui envahissent mon regard quand mes paupières se referment à fond !
    
    Ou plus fort, à présent : il y a ce qui me brûle en enveloppant mon membre et mes bourses, et qui remonte entre mes fesses pour longer tout mon dos jusqu’à ma nuque. J’ai l’impression que ce raz-de-marée de frissons envahit tout mon corps en migrant au galop à ...
    ... l’assaut de ma tête pour l’encercler dans un vacarme assourdissant !
    
    Je brûle ! J’ai vraiment l’impression que ma chevelure brûle comme les forêts du Var en été.
    
    Tina me paralyse complètement, comme pour m’empêcher de hurler ! À présent, je suis totalement impuissant à commander mon corps. Les yeux exorbités, la bouche grande ouverte, je hurle silencieusement. Probablement comme si j’avais un orgasme sec, sans avoir besoin d’éjaculer pour jouir.
    
    Fort. C’est la définition du mot : fort. C’est FORT ! Bon dieu !
    
    Je suis désolé, mais je ne trouve rien d’autre à dire. Et rien ne va mieux que ce mot pour dire la puissance de ce que je ressens, à la fois simplement et totalement, avec les yeux fermés à bloc, à présent. Comme pour m’isoler complètement du monde et pour faire durer encore quelques fractions de secondes cette tornade de jouissance aux accents de tsunami !
    
    Quand je rouvre les yeux, c’est pour voir que Tina a ressorti mon sexe de sa bouche et qu’elle affiche un sourire et des yeux pétillants comme un feu d’artifice de 14 juillet. Elle demande :
    
    — Alors ?
    — Tu es divinement folle !
    — Merci !
    — Je suis vraiment un petit joueur. Je ne sais pas comment…
    
    Elle coupe court à mon envolée enthousiaste :
    
    — Tu peux continuer ce que tu as commencé avec tes doigts, ça sera très bien !
    — Commande, oh ! Maîtresse et je t’obéirai.
    — Tu es le génie de la lampe d’Aladin ?
    — Tu viens d’astiquer ma queue comme la lampe. Alors je me prends pour lui.
    
    Elle éclate de ...
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