Histoires de cocus (extra)ordinaires (14)
Datte: 22/05/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... restèrent visibles un moment. Si un chat en colère m’avait couru sur le cul, il n’aurait pas été plus marqué.
Jusqu’ici, je lui avais laissé l’initiative, mais il convenait de voir quelle marge de manœuvre elle me laisserait.
Je me retirai donc et l’invitai de la main à se retourner. Elle comprit et se mit rapidement en levrette.
— Elle est bonne ta queue.
C’était la première phrase échangée. Nous nous d’abord étions contentés de gémir.
— Et ta chatte putain, elle est bonne ta chatte. T’as une putain de profonde bonne chatte mouillée.
— Bourre-moi.
— T’aimes la queue hein ? T’aimes ça la bite ? T’en veux, hein t’en veux de la pine ?
— Et toi, dis que t’aimes pas piner ! T’es un porc comme les autres. Tu rêvais de me piner dès que tu m’as vue.
— Ouais je vais te piner... Hmmmm t’es trop bonne... J’vais te piner comme on t’a jamais pinée.
Bon, je m’avançais sans doute un peu, voire beaucoup.
Peut-être eut-elle peur que je n’arrive trop tôt, car elle sortit d’un tiroir un tube de gel.
Comme cela glissait tout seul, je n’eus pas trop d’hésitation quant à l’usage à en faire. J’en déposais une petite noix, comme par mégarde, sur la rondelle qu’elle ne m’avait sans doute pas demandé de lui lécher pour rien et, comme elle ne dit mot, j’y mis une dose plus importante. Elle tortilla du cul.
J’étais au top de l’excitation. Il y a peu de nanas qui se laissent prendre le fion, surtout d’un inconnu et c’est un plaisir dont je raffole. J’aime être ...
... bien serré dans un petit cul, le limer en profondeur tout en m’agrippant aux seins et passer d’un trou à l’autre.
Je ne boudais pas mon plaisir, mais la fille savait y faire pour que je ne me laisse pas aller et partir trop vite.
Les changements de position qu’elle m’imposa furent propices à une baisse de régime qui me permit de maintenir mon érection plus longtemps. En m’obligeant à m’asseoir, en venant me chevaucher, elle contrôlait la situation, dansant langoureusement sur mon sexe planté en elle, tout en me mordillant les lèvres ou en m’offrant sa poitrine à gober.
C’était une fantastique grimpeuse et, je dois dire, je n’avais jamais baisé comme cela, jamais.
Mais, aussi douée fut-elle pour me retenir, je finis tout de même par jouir, non sans m’être repositionné dans son cul où je remplis abondamment le réservoir du préservatif.
Elle me l’enleva elle-même avec mille précautions puis déversa le contenu sur ses seins avant de l’étaler par un massage circulaire de plus en plus ample.
Si je l’avais pu, j’aurais bandé à nouveau devant une scène aussi chaude.
Quand elle eut fini cet excitant manège, elle s’allongea contre moi et, la main couverte de sperme, elle me pelota délicatement les couilles tout en me couvrant de petits bisous.
— Tu mets combien de temps à recharger mon chou ?
— Euh... je sais pas.
— Une heure, deux ? Moins, plus ?
— Franchement je sais pas... pourquoi ? Tu veux remettre ça ?
— Grave ! Pas toi ?
— Putain si !
Nous ...